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Le lieu de l'attentat et la photo de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO après l'attentat

Vendredi le 27/12/2024 20h31mn41s

congoAssociation de Bienfaisance monde

A Caractère Spirituel

services spéciaux

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Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO Président Fondateur

louzASSOCIATION LOUZOLO-AMOUR OPH

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VERITES DIVINES DE L'HEURE: Guy Emile

LOUFOUA CETIKOUABO

"HOMME DE DIEU"

Sommaire:

1) La visite de l'ange de l'Eterne entre 1973

et 1975

2) Son enlèvement au Ciel le 08 octobre 1978

3) Sa passion

4) Son message de décembre 2000 annonçant son attentat

5) Son attentat

6) Renoncement de Dieu à la précipitation du dernier jugement, Remission des péchés

1) La visite de l'ange de l'Eternel

entre 1973 et 1975

Note circulaire n°086/GELC/GM-OPH/PF/ASLA-OPH/06
KIBOSSI le 06 octobre 2005

 

NOTE CIRCULAIRE :
 A l’attention des frères et sœurs en Christ
 Des sections de l’ASLA-OPH du Congo
Et du monde entier.
 
Objet : Dénomination de la Permanence de MOUKONDO

Mes bien-aimés dans le Seigneur,

C’est avec une grande joie que je vous annonce la dénomination de notre permanence de l’Association Louzolo « Amour »-OPH. De MOUKONDO sise 2, Rue DELAMARD à Brazzaville.
A compter de ce jour, la permanence de MOUKONDO s’appellera CHARAN d’UR en CHALDEE. Cependant, je ne saurais vous donner la signification profonde de ce nom sans vous en révéler la genèse. En effet, de retour à Brazzaville venant de Pointe Noire, accompagné de deux grandes personnes, j’étais visité par un Ange de l’Eternel entre 4 et 5 heures du matin. Je n’étais pas endormi ; Cela se passait un Dimanche matin entre les années 1973 et 1976.
Les deux grandes personnes qui m’accompagnaient n’avaient jamais connu ni Brazzaville, notre Capitale, ni la partie Nord de notre pays, Ainsi, à notre arrivée à Brazzaville le vendredi, j’avais jugé utile de faire avec mes deux compagnons, une balade touristique le samedi dans la partie Nord du pays, jusqu’à 200km de Brazzaville. Revenus donc à Brazzaville, après avoir partagé quelques bouteilles de « BIERAMYCINE », nous nous étions reposés jusqu’à 4 heures du matin.
C’est à cette heure là que nous sommes réveillés. Nous étions assis devant la baraque en tôles que vous aviez connue, préparant du café et causant joyeusement.
Or l’Ange était passé à coté de mon ami qui se trouvait alors sur la route, Mais celui-ci n’avait pas fait attention. Il lui dira ceci : « Je cherche un homme qui s’appelle Emile, il revient de Pointe Noire ». Mon ami lui répondra : « Moi aussi, je vais au travail ». Mon ami appela son fils qu’il chargea d’accompagner celui qui me cherchait, donc l’Ange. Il fit ce que son père lui avait dit. C’est à ce moment qu’on vit venir un petit enfant qui s’écria :
« Eh Tat’Emile est là, le voilà assis sur une petite chaise ». L’enfant précisa que ce n’étaient pas ces deux personnes là, mais celui qui était assis à côté d’eux.
L’Ange vint vers nous et resta avec nous au moins pendant 30 minutes pendant que nous causions longuement.
Après quoi l’Ange s’exclama : « Ah, mon fils, Dieu m’a envoyé vers toi et je te cherche depuis 3 jours déjà ». Je répondis : « Ah c’est moi que vous cherchez ». Puis nous nous sommes levés, l’Ange et moi pour aller en arrière de la Baraque, l’endroit où l’on pouvait bien causer. Dans la causerie, il me révéla beaucoup de choses et me dit ceci : « Ne refuse pas de recevoir tous les malades et de les guérir. C’est Dieu qui t’a confié cette mission ne t’abandonnera point et rien ne t’arrivera ». Après qu’il ait fini de me révéler d’avantage des choses, il dit : « Tu as compris ? », et je répondis : « Oui, j’ai compris ». Ensuite l’Ange s’empressa de partir en me disant : « Je vais vite parce que ton frère va aller à l’école ». Je lui demandai pourtant d’attendre encore quelques instants, le temps de lui préparer un petit café.
En définitive, je disais que j’étais  arrivé avec deux grandes personnes à Brazzaville revenant de Pointe Noire. J’étais menacé sous plusieurs formes et, étant en quelque sorte dépassé, j’avais décidé de ne plus répartir à Pointe Noire et de ne plus recevoir les malades. Dieu n’avait pas apprécié favorablement cette décision et c’est pourquoi il m’avait envoyé cet Ange.
Vous comprenez maintenant pourquoi dans la chanson intitulée « Je suis incompris », j’avais dit en substance ceci dans les couplets 6 et 7.
6ème couplet : MU MIFIOTOKOSO ZA BANTU BA NTOTO
                      NA BANZA MU BEMBIKA SALU NA DE
                      MU NKUAMUSU YE NTOTOLO
                      YA ZOLO BIKA MU SADISA
7ème couplet : KANSI BILUMBU BIA LANDILA
                      YA MONA NTUMA YA ZOLE YA NZAYISA
                      SADISA BANTU, KUTI NI KO
                      NZAMBI WA KU VANA SALU KIO WENA YAKU.
L’Ange était vêtu de blanc et avait des cheveux blancs. Il était très bien habillé et ne portant pas de chapeau. Seulement, je ne me rappelle plus dans quelle langue, il me parlait, mais je comprenais tout ce qu’il me disait. Il me dit : « Ne crains rien, personne ne te fera du mal. Je fus réconforté car j’avais pris la décision de cesser. J’eus à nouveau confiance en la mission qui m’avait été confiée.
Je viens maintenant pour vous donner l’explication de cette dénomination, c'est-à-dire : « CHARAN D’UR EN CHALDEE ». En effet, ce nom veut dire que : C’est d’ici que Dieu m’a révélé tout ce que je dois faire, toutes les recommandations nécessaires à ma mission, car j’avais décidé de ne plus recevoir les malades et les guérir.

Voilà, mes chers frères et soeurs en Christ, les informations que je tenais à mettre à votre disposition.

Daigne YAHVE l'Eternel vous accorder Son esprit de sagesse afin vous puissez exceller spirituellement dans cette voie du salut


Votre frère en Christ, Le Représentant légal de l'O.P.H sur terre

Le Grand Maître de L’OPH, Missionné du Christ Jésus,
 GUY EMILE LOUFOUA CETIKOUABO
 
 

2) Son enlèvement au Ciel le 08 octobre 1978

A mes très, très aimés et respectés,
Mes gros, gros, gros des gros chefs,
A ma très chère aimée et respectée,
Maman Vice-présidente,
La sœur MAHOUNGOU NKELA Caroline,

 

Cette cassette est la 3ème que je vous envoie, veuillez la faire écouter lors des grandes fêtes de l’OPH.
Veuillez demander à tous les frères et sœurs de faire des copies et de les garder soigneusement chez eux afin qu’ils les écoutent tous les jours s’ils veulent bien.
De même vous aussi devez faire des copies et conserver l’original vu qu’une cassette peut se détériorer au fil de temps.
Ce message (cette troisième cassette) n’est pas très important, il est moins important mais, je souhaite que vous le fassiez écouter lors des fêtes.
Vous vous poserez certainement la question suivante : mais comment se fait t-il que j’adresse cette cassette à Maman MAHOUNGOU NKELA Caroline vice-présidente du BCI alors qu’il y a le comité directeur ?
Non, le comité directeur est au dessus de tout et le BCI est un de ses organes qui a une mission internationale bien précise. Le BCI est un organe d’exécution c’est pour cela que je m’adresse directement à elle.
Comme on a les gros KALAKA qui boudent ! Mais oui c’est comme ça  toute administration a bien une hiérarchie et chacune de ses sections a un rôle bien définit !
Voilà pourquoi ces derniers temps je m’adresse au BCI. Comme papa OGOUCHI est à Pointe Noire et Maman NKELA est à Brazzaville (non loin de là où je suis), il n’y a qu’à elle que je puisse m’adresser en urgence.
Ici, je n’ai pas de choses très importante à vous livrer, c’est moins important mais, je veux que vous les connaissiez. Je ne vais pas m’étendre mais je vais m’appuyer sur quelques points essentiels pour que vous les maîtrisiez. Il va de soi que je ne vais pas aborder la genèse mais, quelques points saillants.
En effet, il y a fort bien longtemps que je projetais de vous livrez ce message mais je me disais à quoi va-t-il servir ? Mais aujourd’hui, ma conscience m’interpelle et je me dois de  vous le dire moi-même.
Il est vrai que les gens ont appris mon histoire par ci par là mais, je vais vous la relater moi-même.
Premièrement je vais dire ce qui suit :
Beaucoup de gens disent qu’Emile est un illettré, il ne sait pas parler correctement français, il n’a jamais été à l’université (grandes écoles) et comment peut-il se dire Grand Maître ? Mais Comment, comment, comment, beaucoup de comment !
Mais oui ! C’est vrai je ne suis pas cultivé…
A mon époque, il n’y avait que 4 classes (4 niveaux d’études). Tout le cursus n’était limité qu’à 4 ans :

  1. La première année était : Débutant premier
  2. La deuxième année était : Débutant deuxième
  3. La troisième année était : Préparatoire premier
  4. La deuxième année était : Préparatoire deuxième

Et point final.
Ce n’est que bien après qu’au sein de l’armée du salut il y a eu les cours élémentaires.
A mon époque, comme j’étais salutiste, je vous le dis toujours et je vous le dirai toujours que je suis salutiste et je resterai salutiste quoi que je sois les BATELE ET LES BASIDI (BTLBSD), à MAKAKA vers 1941 il y avait le premier poste de l’armée du salut, je précise bien le premier poste de l’armée du salut au Congo fut à MAKAKA (région du pool).
Les premiers enfants inscrits dans cette école furent nous. J’étais encore petit et je revenais du nord du Congo où mon père m’avait confié à son neveu direct que beaucoup de gens connaissent mais ici je ne peux pas dire son nom.
Quand je suis parti de chez lui, je suis venu faire les 4 années d’études  c'est-à-dire :

  1. La première année était : Débutant premier
  2. La deuxième année était : Débutant deuxième
  3. La troisième année était : Préparatoire premier
  4. La deuxième année était : Préparatoire deuxième

Mais il y a un détail que je veux bien soulevé :
En fait, je n’étais pas assidu aux cours c'est-à-dire dans une année, je manquais au moins 6 mois de cours (une semaine de cours par mois). Les moniteurs et d’autres élèves étaient contraints de me ligoter car je manquais abusivement les cours.
J’étais un enfant bizarre mais, je ne me présentais qu’aux jours où il y avait les compositions de passages en classes supérieures (lorsque mes amis me tenaient informé). Curieusement, je réussissais et je passais en classes supérieures.
Une chose est vraie, je ne comptabilisais que moins de 3 mois en tout d’assiduité durant l’année et ma mère s’étonnait, elle me posait la question suivante :
Mais où est ce que tu acquis toutes ces connaissances alors que tu n’es pas assidu ? Si ma mère était encore vivante, elle témoignerait.
Je manquais tellement les cours qu’il était impossible de réussir dans ces conditions. Je préférais aller dans la brousse pour poser mes piéges de rats car mon père me disait toujours que l’ « on ne se nourrie pas de papiers mais des produits de la chasse » autrement dit, il n’y a aucun intérêt en allant à l’école, cela n’a aucune importance et quelque soient ses connaissances scolaires, si quelqu’un meurt, il ne les amène pas avec lui.
Je répète qu’à mon époque il n’y avait que 4 classes et nos enseignants étaient des blancs, deux femmes Londoniennes étaient nos monitrices. Plus tard, on nous ajouta 2 moniteurs noirs (africains), il y avait au total 4 moniteurs. Il y avait un examen de passage pour passer d’une classe inférieure à une classe supérieure.
Il y avait également à GOMA TSIE-TSIE (village), le vieux GOMA TSIE-TSIE situé après le pont du DJOUE (fleuve du sud du Congo) une école catholique où il n’y avait que 4 années d’études (4 classes), les mêmes cours que chez nous les salutistes.
Je redis que durant les 4 années d’études je n’ai comptabilisé que moins de 3 mois d’assiduité disant 2 mois d’assiduité et par la suite je disparaissais.
Curieusement, les moniteurs m’aimaient bien parce que j’étais un bon élève (intelligent) et lorsque les examens de passages s’approchaient, ils courraient me chercher. Ils me ligotaient le matin pour m’amener à l’école. Ils me jetaient dans l’eau les pieds et les mains liés (pour le bain) et m’embarquaient sur leurs épaules au vu des autres élèves.
Voilà pourquoi les gros chefs disent que je suis un vaurien, que je ne connais rien  et que je n’ai pas fait des longues études!
Mais Dieu dans sa sagesse m’a instruit autrement en me faisant faire des longues études. Quand je suis rentré de mon séjour du nord du Congo, après les études que j’ai faites (4 ans), Dieu m’avait inscrit dans son école à lui.
En effet, j’étais mort dans la rue un matin et suis resté 3 ans et demi dans une sorte de coma, tout mon corps était immobile et plus rien ne fonctionnait. Un monsieur récupéra mon corps car il se disait : cet enfant doit appartenir à un homme comme moi. Si vous lisez les documents, vous serez informés que j’avais dit tout ceci au Roi David.
Le Roi David avait transcrit tout ceci dans des brochures mais malheureusement à LOUZOLO, les frères et sœurs les déconsidèrent alors que ce sont des choses qu’ils devaient connaître et maîtriser car il viendra un temps où on leur posera des questions. Mais si on vous pose des questions à ce sujet et que vous êtes ignorants, comment allez vous répondre ?
Vous déconsidérez ces choses croyant que les vraies choses viendront du Ciel ! Ah ! Non, puisque vous êtes à LOUZOLO, vous devez connaître son histoire et surtout celle du président fondateur.
Dieu m’a inscrit dans son école pendant 3 ans et demi, j’étais un homme mort car je ne bougeais plus tout mon corps ne fonctionnais plus (coma) hormis des battements au niveau du cou qui avaient un rythme irrégulier. Le monsieur qui m’avait récupéré, en allant au travail s’inquiétait de mon sort, il croyait qu’il se pourrait que je meures derrière lui.
Mes parents avaient oublié qu’ils avaient un enfant que ce soit du coté de ma mère ou de mes oncles que ce soit du coté de mon père. Mes parents maternels croyaient que je me trouvais chez mes parents paternels comme j’avais l’habitude de rester chez mon père. De même mes parents paternels pensaient que j’étais chez mes parents maternels et durant tout ce temps personne ne s’est inquiété.
Personne n’avait l’idée de me chercher selon la volonté de Dieu. Pendant trois ans et demi je dis bien ! Dieu a fait que je reste dans le coma ! Vous vous rendrez compte qu’il ne me restait plus que des os mais,  malgré tout, ce monsieur me gardait. Ce papa était originaire des abords du chemin de fer, vers le nord aux environs de marchant (gare du chemin de fer). Je ne le connaissais pas et lui non plus. Ce n’est qu’au moment où je me suis rétabli que nous nous sommes connus. Ce papa est déjà mort et s’appelait Fidèle, il se prénommait Fidèle, monsieur fidèle. Il était charpentier.
Ce monsieur s’est par la suite marié et…Je ne peux pas vous dire la suite car il ne reste plus assez de bande. C’était l’école de Dieu pendant trois ans et demi vous le lisez dans les brochures écrites par le Roi David et il y a beaucoup de choses dans le grand livre écrit par le Roi David, mais, Dieu m’avait dit de le garder pour le moment.
Deuxièmement,
Vous aviez appris que j’avais disparu à LOUDIMA gare, en fait c’est ici le message que je voudrai bien porté à votre connaissance.
J’ai commencé par vous parler de mon cursus scolaire pour affirmer que je n’ai pas fait des longues études terrestres mais Dieu m’a lui-même inscrit dans son école à lui pendant trois ans et demi. Je ne respirai pas du tout pendant trois ans et demi mais seulement il y avait des battements au niveau de mon cou. Enfin, je laisse tomber la suite pour revenir au message du jour.
En 1978 j’avais envoyé quelqu’un à Brazzaville auprès des Papas :

  1. NKOURISSA
  2. BIZA BOUNTSANA
  3. YOULOU Antoine
  4. MBEMBA
  5. PASSI MOUNZEMBELLE

Ces derniers ne savaient pas comment prier dans LOUZOLO, personne ne savait y compris le défunt NKOUNKOU Joachim qui était le premier membre du Congo. Comme à Pointe Noire j’avais appris comment il fallait prier, j’avais délégué quelqu’un de là bas pour aller me représenter à Brazzaville. Ce fut ce monsieur que j’avais envoyé auprès des papas cités ci-dessus.
J’avais donc envoyé ce monsieur à Brazzaville pour qu’il aille chez Papa NKOURISSA leur apprendre comment nous prions à LOUZOLO. Ils devaient tous demeurer fraternellement ensemble pour apprendre auprès de ce frère.
Ce monsieur était bien arrivé à Brazzaville où il avait été bien reçu, escorté…Vous pouvez vérifier mes dires auprès des Papas NKOURISSA, BIZA BOUNTSANA, YOULOU Antoine, MBEMBA, PASSI MOUNZEMBELLE. Ils confirmeront tout ceci.
C’est bien moi qui avais envoyé ce monsieur à Brazzaville parce qu’en quittant Brazzaville, j’étais conscient que ceux qui y étaient  restés ne savaient pas comment prier à LOUZOLO. C’est pour cette raison que j’ai envoyé quelqu’un de Pointe Noire pour leur apprendre.
Tellement qu’il avait été bien reçu, escorté…Papa MBEMBA Etienne, pardonnez moi, voulait même passez tout de suite membre confirmé.
Papa MBEMBA Etienne disait au frère que j’avais envoyé qu’il ne voulait rien savoir, il avait de l’argent et était prêt à payer pour passer MC. Alors que le frère insistait sur le fait qu’il faut d’abord bien connaître l’OPH avant de passer membre, mais celui-ci ne voulait rien savoir.
Papa MBEMBA avait tellement insisté que ce frère était contraint de revenir à LOUDIMA me poser la question de savoir s’il est possible que Papa MBEMBA passe du coup membre confirmé. Ma réponse était OUI car c’est  la volonté de tout un chacun !
Ce frère retourna à Brazzaville fit tout ce qu’il fallait faire (les courriers) pour que Papa MBEMBA passe membre confirmé.
Il lui a été signalé qu’à son retour à LOUDIMA, des présents et d’autres affaires dont de la nourriture devaient lui être confiés pour moi.
Lorsqu’il avait fini son travail à Brazzaville, on lui remit tout ce qu’il fallait et il retourna à Pointe Noire.
Arrivé à Pointe Noire il s’est dit :
Ah ! Quel bonheur ! J’ai été bien reçu et escorté…C’est à moi qu’ils ont fait tant d’honneur ! Combien à plus forte raison lui-même Emile ?
Le jour où lui-même Emile mettra les pieds à Brazzaville… Alors il concerta les gens, ils se sont entendu…C’est le début de ce que vous connaissez concernant la passion du Grand Maître. C’est le point de départ de ma passion.
La bonne réception de ce frère à Brazzaville par les Papas NKOURISSA, BIZA, NKOUNKOU Joachim, PASSI, MBEMBA et les cotisations faites pour lui l’avaient inspiré. Il s’est dit, c’est seulement moi qu’ils ont reçu, mais, le jour où lui-même viendra…
Il s’était allié avec un autre président de Pointe Noire où j’avais institué deux bureaux, vous les connaissez certainement par écrit.
Je redis ces choses pour que vous vous rappeliez comment a débuté ma passion et quel en était le but, la motivation…
C’est parce ce frère avait été  bien reçu et on lui avait certainement donné beaucoup d’argent…Il s’est dit mais « ça c’est seulement moi mais le jour où lui-même viendra ça sera plus que cela ». C’est pour cela qu’ils se sont réunis pour faire ce qu’ils voulaient faire comme vous le lisez dans la passion du GM.
En 1978, la même année, je quittais LOUDIMA pour aller à Pointe Noire voir comment fonctionnaient les deux bureaux. Arrivé à Pointe Noire, les gens sont venus à ma rencontre pour me dire « ici ça ne va pas bien, rien ne va ici ». Je leur ai demandé ce qui s’y passait réellement. Ils me diront qu’il y a des mésententes, les 2 frères présidents ne s’entendent plus et se chamaillent tout le temps. Or, c’était une ruse : c’était un piège tendu pour m’avoir. C’est comme à Brazzaville, les gens créent des situations  incongrues pour que les frères et sœurs se séparent et ne s’entendent plus afin de me faire du mal.  Faire du mal à Emile c’est idiot ! « Ca je vous ai toujours dit : ici c’est chez vous mais chez nous, dans notre pays, personne ne passera sans me voir » retenez cela une bonne fois pour toute.
J’ai pris le défunt BARON et je l’ai invité à me suivre pour aller voir les deux frères en conflit. Nous sommes partis pour MAWATA (quartier de Pointe Noire) à 18h les deux  présidents y étaient bel et bien présents car j’avais au préalable demandé au président de TSIE TSIE (un autre quartier de Pointe Noire) de venir.
Il y avait beaucoup de problèmes, ils accouchaient beaucoup de problèmes. Certains disaient Emile est peut être votre Grand Maître mais,  plus jamais le nôtre, en claquant les portes. Par la suite, j’ai dit au défunt BARON allons y et nous sommes partis. Le défunt BARON m’accompagna chez moi à MVOUNGOU (quartier de Pointe Noire) et il rentra chez lui à MBOTA (quartier de Pointe Noire).
Le lendemain matin avant d’aller au travail, le défunt BARON était venu me voir pour me remonter le moral et surtout pour voir si tout allait bien. Il me dit qu’il allait au travail et moi je lui ai signalé que je rentrai à LOUDIMA le soir.
Mais, je n’avais plus voyagé ce soir là, comme on était  des amis, je lui avais par la suite confié que je partais plutôt pour LOUDIMA au matin et qu’on devait laisser tomber les histoires de Pointe Noire. J’y avais donc passé deux jours et au matin j’ai pris le train et je suis arrivé à LOUDIMA à 15h.Entretemps, un frère de LOUDIMA que j’avais présenté à ces deux présidents étaient déjà à Pointe Noire avant moi et avait entendu tout ce qu’on fomentait à mon encontre. Quand je suis arrivé à LOUDIMA les gens étaient entrain de m’indexer en disant c’est bien lui, c’est lui. Et ce frère, le frère SERAPHIN que vous connaissez par écrit avait propagé la nouvelle à LOUDIMA en disant que «  ce type là on va le liquider à Pointe Noire, car j’en viens et j’ai entendu parler de lui en mal ».Une maman viendra alors à ma rencontre et me disant : Mon fils es tu arrivé ? Je lui ai répondu oui. Elle s’étonnait parce qu’elle avait appris qu’il allait m’arriver une situation catastrophique. Elle me disait : Papa Séraphin nous a tout raconté. Je lui avais répondu, maman ça ne fait rien.
Je m’étais rendu chez le frère MAMPOUYA GOTHARD SAMUEL que vous connaissez, il est vice-président de « BUCOREP » président de la section de NKAYI  et BTLBSD.
Celui-ci m’informa dira que chez moi il y avait des étrangers qui venaient du village et comme il n’y avait plus de place, tu dormiras ici chez moi dans la chambre réservée aux étrangers. Comme il n’y avait plus de crochet du coté intérieur de la porte, pour fermer la porte à clé, Papa GOTHARD me dira qu’il était dans l’obligation de m’enfermer c'est-à-dire qu’il devait fermer la porte de l’extérieur, retirer la clé pour la remettre le lendemain matin avant d’aller au travail. Il était le directeur des deux écoles de LOUDIMA. Il me plaça dans cette chambre, ferma la chambre, retira la clé puis s’en alla dormir. Cette chambre n’avait pas de fenêtre car c’était une chambre de passage réservée aux étrangers.
Après son départ, je m’étais assis sur le lit puis j’ai posé le sac que j’avais sur la chaise qui était juste à coté.
J’étais resté assis et une tristesse terrible me saisit je me lamentais : Les gens à qui je fais du bien me rendent le mal alors que beaucoup d’entre eux étaient dans des situations difficiles et critiques ! J’y pensais sans cesse. Ce jour là c’était dimanche, il était 20h. Tellement que cela me chagrinait, Dieu m’envoya trois (3) anges blancs comme on les voit dans les images.
En 1978, 3 anges étaient venus me chercher à 20h. Le premier était devant, je le suivis et les deux autres étaient derrières. Nous partîmes ensemble. Ils me transportaient sur une haute montagne. Ils me demandaient de m’agenouiller, je m’agenouillai. Les 3 anges m’entouraient. Je ne vais pas tout raconter tellement que c’est long. J’y avais passé trois nuits sous un soleil brûlant, consumant. Mon corps n’avait plus d’eau et de sang car ils s’étaient évaporés. J’ai su que je n’avais plus de sang lorsque j’ai essayé de bouger ma langue en vain.
Après nous sommes partis, j’avais ma tenue rouge bordeaux. A l’époque cette tenue était vendue au marché à Pointe Noire et il y en avait de plusieurs sortes. J’avais acheté ma tenue rouge bordeaux comportant une chemise manches courtes et un pantalon. Son tissu était très souple. A l’occasion j’avais aussi acheté mes sandales (MUCHUN’ YA BATA) car je ne porte que ça comme chaussures.
Après les 3 jours, nous sommes montés au Ciel, j’y étais monté avec le corps que vous voyiez à la montagne. Vous me voyiez à KIBOSSI et oui c’est bien le corps que vous voyiez qui était parti au Ciel « vivant ». Nous sommes arrivés là bas et ils m’ont placé quelque part où il y avait de la joie en tout cas une joie indescriptible. J’y suis resté et quelques jours après je me suis souvenu que j’avais laissé ma femme enceinte. Je me disais mais, si elle met au monde un enfant, que lui dira ma femme s’il lui demande où est son père !
C’est ce souvenir qui me poussait à revenir sur terre et je me disais qu’il était mieux que je me manifeste en demandant la permission pour aller rassurer ma femme et revenir.
Je m’étais agenouillé, c’était un mercredi et, j’avais vu Jésus qui revenait d’un lieu que j’ignorais. Il était très loin sur une haute montagne, il marchait lentement avec ses mains croisées dans le dos. Ses cheveux, sa barbe blanches tombaient jusqu’à la terre et nous humains, marchons sur sa chevelure et sa barbe blanches. Sa barbe et sa chevelure sont sur cette terre, elles sont répandues sur cette terre. C'est-à-dire Jésus est grand et sa chevelure, sa barbe débordent et tombent jusqu’à la terre. Il passait au loin, lentement, lentement  et marchait en regardant devant lui, « tout droit »…
Arrivé en face du lieu où j’étais, « il était en haut et moi j’étais en bas », il était sur une haute montagne et je ne sais pas où il se dirigeait. Il s’est retourné et en me voyant il dira :
Ah Emile ! Emile qui aime les humains ! Veux tu repartir sur terre alors que les humains ne t’aiment pas ! Laisses les nous les aurons tous ici. Je lui dit : Papa, pardon, Jésus Pardon ! Je vais tout simplement y retourner pour dire à ma femme de ne pas s’inquiéter car quoique je ne sois pas sur terre, je vis de l’autre coté. Je dis bien c’était Jésus lui-même, je l’ai vu avec mes yeux, quand vous me voyiez à KIBOSSI, j’avais déjà vu Jésus de mes propres yeux. En 1978, je l’ai vu avec ce corps au Ciel, au Ciel je dis bien car ils m’avaient pris pour m’amener là bas au Ciel, je dis bien au Ciel. J’étais monté au Ciel avec ma tenue, mes sandales, ma montre BRACELET et une torche que j’avais à la main. Je suppliais avec insistance Jésus pour qu’il  me permettre de retourner sur terre. C’était bien Jésus, ce Jésus, ce que je vous dis en ce moment, on vous le redira le jour où nous allons nous revoir au Ciel. Jésus disait : Ah Emile qui aiment tant le monde mais laisse les, car ils t’aiment pas, nous les aurons tous ici. C’était Jésus qui le disait ! Et moi j’insistais en le suppliant de me laisser partir rassurer ma femme. Après m’avoir parlé, il s’en alla, marchant lentement, lentement, je ne sais pas où était t-il descendu. Aussitôt après sa disparition, les 3 anges étaient revenus et m’ont relevé car j’étais à genoux. 
Là bas au Ciel, là où j’étais il y a eu une joie indescriptible. Il fait très beau là bas, la lumière qui s’y trouve est merveilleuse et extraordinaire. Un beau temps, la lumière avait une couleur tendant vers  le jaune avec quelque fois une tendance vers un peu de rouge, bref ! Une lumière extraordinaire.
Les trois anges m’avaient dit que c’est le moment de repartir sur terre. Comme toujours, un ange était devant moi et les deux autres derrière moi. Je suivais celui qui était devant moi. Je ne sais plus combien de pas avons-nous fait ! Je ne sais pas si nous avions fait deux pas ou trois. Mais, en marchant, en faisant deux pas, l’ange qui était devant moi s’était retourné pour me saluer, il m’avait tenu la main, me saluant en me disant va en paix (bon retour), un des deux anges qui étaient derrière moi s’avança et me saluait en me disant va en paix, le troisième s’avant et me saluait en me disant va en paix. Lorsqu’ils sont parti, à l’instant même, je me suis retrouvé ici sur terre. C'est-à-dire Ah ! Mes gros chefs il y a des miracles ! Les miracles existent, la puissance existe…Je ne sais pas si le Ciel est ici sur terre ou ailleurs car nous n’avions fait que deux ou trois pas en partant de là bas et eux, avaient déjà su que nous étions arrivés sur terre. Le premier ange qui était devant moi se retournait pour me saluer, le deuxième s’avançant devant moi me saluait et le troisième s’avançant devant moi me saluait. Ils m’ont salué à la main je dis bien (une précision) et quand ils s’étaient retourné aussitôt, je me suis retrouvé ici sur terre.
Alors, pendant tout ce temps là, mes oreilles étaient inactives, je n’entendais plus rien et mes yeux ne voyaient plus rien du tout. Après j’entendais un bruit monotone dans mes oreilles et je commençais à me plaindre en disant : Ah Père Eternel mon Dieu, où suis-je ? Que m’arrive t-il. Or, ils m’avaient déposé sur une haute montagne de LOUDIMA une haute montagne car à LOUDIMA il y a un endroit renfermant des hautes montagnes parsemées des hautes herbes.
Je m’étais dit comment vais-je faire tellement que j’étais fatigué. Pendant tout ce temps, je n’avais pas manger c’est dire depuis mon départ de Pointe Noire et mon séjour au Ciel, je n’avais rien mangé. Tellement qu’il y avait la joie j’avais complètement oublié les habitudes terrestres mais, bien plus tard, je m’étais souvenu que j’avais laissé ma femme enceinte et que j’avais des inquiétudes pour l’enfant qui allait naître. Et donc l’enfant pour lequel j’étais revenu sur terre s’appelle ISMAEL, LOUFOUA Ismaël vous le connaissez, KADI Ismaël pourquoi KADI ? Kadi est le président de la section qui avait logé ma femme lorsque j’étais menacé. J’avais donc laissé ma femme chez le président KADI en lui disant que, quand ma femme accouchera, tu donneras ton nom à l’enfant. Le premier nom de l’enfant devra être KADI puis LOUFOUA. Cet enfant s’appelle KADI LOUFOUA Christian Ismaël. C’est à cause de cet enfant que j’étais revenu sinon je serai définitivement parti et vous ne m’auriez pas connu. A Brazzaville aussi, je ne serais pas connu des frères et sœurs.
 
Sur cette montagne, tellement que j’étais épuisé, je m’étais endormi jusqu’au lendemain matin. Après m’être réveillé, je me disais, où vais-je aller ? Je craignais de me déplacer le jour car il m’avait été interdit de me faire voir aux humains. Je me disais que vais-je faire ? Parce que je n’avais plus le premier corps celui qui était sorti du ventre de ma mère mais un nouveau corps. Mon corps terrestre avait été enlevé pour être remplacé par un nouveau corps, le corps que vous voyez et est un autre. On m’avais changé de sang et d’eau tout est nouveau ce n’est plus le même corps.
J’y avais passé 2 nuits et la troisième nuit, j’avais entendu les sifflements du train provenant de la gare de LOUDIMA. J’avais repéré la direction de la provenance du son et je m’étais mis en route pour aller vers la gare mais, en route j’avais vu, fait, et vécu beaucoup de choses que je ne peux pas vous le dire. Je vais vous raconter autre chose :
En rentrant à LOUDIMA, vu qu’il y avait beaucoup de montagnes, J’ai entendu dire : Emile, c’est toi que nous attendions ! J’ai vu un peuple immense sur l’une des montagnes, c’était un peuple de Dieu. Il y avait Papa Abraham, je l’avais vu moi Emile, j’avais vu Papa Abraham. C’est lui qui disait : Emile, nous l’attendions ici car c’est toi qui doit diriger cet assemblée. De mon vivant, je dis bien que j’étais vivant, je gravissais, gravissais, gravissait cette haute montagne où il y avait un immense peuple de Dieu. C’était Papa Abraham je l’avais bien vu moi Emile, il faut que je vous dise ces quelques vérités quoique je ne veuille pas tout dire.
Donc, Papa Abraham m’avait dit : c’est toi que nous attendions pour diriger cette assemblée. Je leur avais demandé pardon en leur expliquant que j’étais très fatigué. Par la suite, nous avons fait tout ce qu’on nous avait demandé de faire.
Nous avions tout clôturé et au matin, j’étais descendu de cette montagne en les voyant rassemblés, je leur avais dit au revoir et eux, m’avaient répondu, va en paix.
J’étais descendu de la montagne, ce n’est pas un rêve que je vous raconte mais une réalité, j’étais bien vivant. En marchant,… je vais couper d’autres parties à cause de la bande qui va bientôt finir.
J’avais traversé trois fois les alentours de LOUDIMA puis je suis arrivé à la gare non loin de chez papa GOTHARD.
En partant du chemin de fer (rails), mon point de repère, en remontant, j’étais arrivé à un point d’eau et je m’étais souvenu que c’est à cet endroit que l’on venait puiser de l’eau. Je m’étais posé trois fois la question de savoir comment allais-je faire pour m’orienter ! En continuant de remonter, j’étais arrivé à un endroit où nous achetions du pain. J’avais reconnu la boulangerie et je m’y étais dirigé pour me renseigner. Arrivé sur les lieux, je leur avais demandé s’il connaissait la maison d’un Monsieur nommé MOUANDZA. Ce monsieur vendait du café et c’est chez lui que je me rendais souvent pour boire mon café, comme sa maison est grande, je m’étais dit, partant de là, je pourrai facilement me diriger vers ma destination.
Ils m’avaient renseigné et je m’étais rendu chez Papa MOUANDZA. Arrivé chez lui, j’avais frappé à la porte, comme il revenait de la pêche, il répondait : « qui est ce ? » et j’avais répondu : « C’est moi Emile ». Il étais étonné et me disait : »Emile ! Mais nous sommes entrain de te chercher partout, tous les moniteurs sont préoccupés par ta disparition ; Les gens téléphonaient partout pour savoir où tu étais et même papa Gothard s’inquiète et ne sait quoi dire à ta famille car c’est de chez lui que tu étais. Papa Gothard disait : « que vais-je dire à sa famille car c’est de chez moi qu’il a disparu et c’est moi qui avais fermé la maison à clé! ». Renseignez vous auprès de Papa Gothard MAMPOUYA Samuel pour vérifier mes dires. Demandez lui si « OUI ou NON je vous divertis ! ».
Ils me cherchaient…
Après avoir pris connaissance de ce qui s’était passé, j’avais dit à Papa MOUANDZA, permettez moi de me changer d’abord et puis je vais aller chez Papa Gothard. Il me disait : Ici, nous sommes tous entrain de te chercher partout, tout le monde te cherche et cette disparition défraie la chronique. Tous les soirs, tous les moniteurs allaient s’enquérir de l’évolution de la situation auprès de Papa Gothard. Ce soir là, ils se trouvaient réunis dans son grand salon quand nous étions arrivés chez lui.
Arrivés chez lui, nous avions frappé à la porte et Papa Gothard disait : Qui est là ? Papa MOUANDZA lui répondait : c’est moi Papa MOUANDZA. Papa Gothard lui demandait : Qu’est ce qui se passe ?
Papa MOUANDZA : La personne que nous cherchions est bien vivante et nous l’avons retrouvé !
Papa Gothard : a-t-il réapparu ?
Papa MOUANZA : oui il est réapparu et il est ici présent.
Alors, les moniteurs sortaient de son salon un à un sans mot dire, il y avait un silence de mort. Pour eux ce n’était pas possible que je réapparaisse après tant de jours d’absence. Comme je ne pouvais pas approcher les gens, je les fuyais, j’étais contraint d’entrer dans son salon et je m’étais installé dans un coin.
Papa Gothard me regardait, moi aussi.
Papa MOUANZA nous laissa, les moniteurs aussi, je suis resté qu’avec :

  1. Papa Gothard
  2. Sa femme
  3. Et ses enfants

J’étais assis dans un coin, sur une chaise et eux étaient sur le canapé.
Je leur avais demandé s’il y avait des mangues. Papa Gothard me confirmait que les mangues étaient déjà presque mures. Je leur demandais de me les préparer comme suit :
Les éplucher, les couper en morceau puis les piller en les mélangeant avec beaucoup de piment.
Ils me les avaient préparées rapidement, ils m’avaient servi puis j’avais mangé.
Je ne vais pas m’étendre tellement que le récit est long, je vais aller à l’essentiel.
Après avoir mangé, je lui avais dit que je devais m’en aller. Papa Gothard n’était pas d’accord pour que je parte. Il me disait : Non, je ne veux pas que tu partes de peur que tu ne disparaisses encore ! Non tu restes ici. Je lui avais rassuré que je m’en irai plus.
Il me proposait de nouveau la même chambre où les anges étaient venus me chercher, il m’y installait et j’ai dormi.
Au matin, Dieu me dira : Tu resteras un mois et demi  dans cette chambre, tu ne sortiras point et tu ne verras personne, les gens non plus ne viendront pas te voir ou te rendre visite. Tu y demeureras pendant un mois et demi.
J’y étais resté durant un mois et demi. Après ce délai, Dieu me dira : Tu peux maintenant sortir et te faire voir aux humains.
C’est ainsi qu’était ma disparition chez Papa Gothard. Dieu m’avait envoyé 3 anges parce que j’étais tellement triste et je me disait : Malgré tout le bien que je fais aux gens, ceux-ci me rendent le mal ! C’est alors qu’une mélancolie me saisissait, mon chagrin montait vers Dieu et il m’envoyait 3 anges pour venir me chercher.
J’étais parti au Ciel avec ce corps, celui ci.
Donc voilà mes gros chefs, mes frères et sœurs, ce que j’avais à vous dire. Tellement que c’est long, j’ai résumé pris l’essentiel pour que vous connaissiez cette histoire.
Beaucoup de gens avaient appris que j’avais disparu sans savoir où j’étais parti et comment c’était déroulé!
Voilà pourquoi je vous raconte cela, à présent réfléchissez :
Jésus avait refusé que je revienne sur cette terre en me disant : « Tu aimes les gens mais les gens ne t’aiment pas ; Laisse-les, nous les  aurons ici » C’étais Jésus qui parlait et il passait sur une grande montagne. Il disait : tu aimes les gens mais les gens ne t’aiment pas laisse-les nous les auront ici. Je suppliais le Seigneur en lui disant : Permets moi d’aller seulement rassuré ma femme car je l’ai laissé en état de grossesse ; que répondra ma femme à l’enfant lorsqu’il va naître, celui-ci lui posera la question de savoir où est son père.
Ah Emile ! Qui aime les gens alors que les gens ne l’aiment pas mais laisse les !
Voilà mes gros chefs ce que j’avais à vous dire. Ce message-ci sera écrit dans la brochure intitulée : la prédication selon Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO (à l’orée du troisième millénaire) mais, tout un chacun devra faire la copie de ce message (cassette) pour l’écouter chez lui pour savoir comment les choses s’étaient passé.
Après avoir fait un mois et demi, j’avais encore décidé de retourner à Pointe Noire. C’est vers la fin de l’année 1978 et début 1979 que s’était passé ce que vous lisez. Je crois que vous m’avez compris.
Cette cassette doit être écoutée lors de toutes les grandes fêtes de l’OPH. Il faut que les gens fassent des photocopies de ce message pour l’écouter chez eux.
Je m’arrête là !
Je vais voir s’il me reste encore un peu de bande pour vous proposer au moins une chanson.
Il en reste un peu.
 Mes gros chefs!
Mes très, très, très cher aimés et respectés, Mes gros KALAKA,
Si tu veux prier Dieu, va prier ton Dieu mais, n’examines pas d’abord la vie d’Emile ! Alors qu’Emile est un pauvre type, il n’est pas intellectuel, il n’a pas fait des longues études. Si tu examines ces choses, tu ne prieras plus. Parce que, par rapport à ce que vous êtes, vous n’allez plus me considérer et direz : ah ! C’est un pauvre type.
Mais oui, je suis un pauvre type mais, en 1988 à l’ancienne montagne qu’on appelait  N’LOU c'est-à-dire MONGO WA N’LOU en langue, quand il y a eu des problèmes provoqués par des gens qui avaient dit ce que vous connaissez, je vous avais dit oui, pour tout ce que vous avez dit, pour tout ce que vous avez fait, pour tout ce qui se passe ici,

  1. Revenez à l’amour du prochain à l’ancienne.
  2. Suis bien mon âne

Si j’avais dit ces deux phrases en 1988 à l’ancienne montagne par rapport à tout ce qui s’était passé là bas, tout ce qui était dit là bas et le comportement affiché par des frères et sœurs qui y étaient , c’est parce que Dieu était irrité.
Nous ne devons pas badiner avec Dieu. Lisons la Bible pour nous rendre compte que les israélites se moquaient du prophète et Dieu fit ouvrir la terre pour les enterrer vivants. Ce jour là c’était ce qui allait advenir. En voyant cela, j’ai supplié Dieu en lui disant : Oh Seigneur, mais si cela arrive comment serai je moi ton serviteur ?
Non, mes frères et sœurs, non mes gros KALAKA si tu veux être à LOUZOLO, reste. Mais si tu ne veux pas rester à LOUZOLO, va librement mais ne provoque pas des histoires que tu ne pourras assumer. Ce qu’ils ont provoqué là bas, à l’ancienne Montagne, qui avait exaspéré  Dieu, mais s’il advenait que Dieu fasse sa volonté, Ah ! Tous ceux qui étaient à la montagne seraient ensevelis ! Il ne faut pas badiner avec Dieu. J’ai toujours dit, je répète et je le répèterai toujours je cite : «  si tu constates que LOUZOLO ne te convient pas déposes les armes et va t-en tranquillement mais, ne cherches pas des problèmes à Dieu. Dieu n’est pas notre petit frère. Dieu n’est pas…Je ne sais pas moi !
Lorsque Dieu donne, Il donne, lorsqu’Il parle, Il parle. Mais nous les humains sommes orgueilleux, vaniteux [parce que « je suis comme ceci, je suis comme cela » devant les gens…«parce  que les gens vous côtoient …bon écoutez… »] Ah non !
J’aime tout le monde, j’aimerai toujours tout le monde jusqu’au dernier jour du Seigneur. Jésus m’avait dit : Tu aimes les gens mais les gens ne t’aiment pas, laisse les nous les aurons tous ici. C’était Jésus qui me l’avait dit, lorsque j’étais parti au Ciel avec tout ce corps, lorsque les 3 anges m’avaient emmenés vivant, j’étais vivant.
Jésus m’avait dit : Tu aimes les gens mais les gens ne t’aiment pas laisse les nous les aurons ici. Oui, mes frères et sœurs, mes gros KALAKA, mes gros chefs, pardonnez moi, si tu constates que LOUZOLO est une association qui ne te convient pas va-t-on tranquillement ne cherche pas de problèmes à Dieu. Ce n’est pas à moi que vous cherchez des problèmes mais à Dieu puisqu’Emile a été envoyé pour propager la bonne nouvelle de Dieu. Je suis un petit KAPITA je vous l’ai toujours dit.
Si tu cherches les problèmes, ce n’est pas à Emile que tu les cherches mais à Dieu. Mais, qui est l’homme de la terre par rapport à Dieu ! Qui a le pouvoir sur l’autre ? Qui peut faire du mal à l’autre ? L’homme ou Dieu ?
Non, ne cherchons pas des problèmes à Dieu, nous sommes ses créatures et devons le craindre. Lorsque Dieu établi quelqu’un pour vous enseigner ses vérités, l’homme de la terre est libre de les écouter et de les mettre en pratique ou de ne pas les écouter…Si tu ne veux pas écouter va-t-en doucement, tranquillement et librement mais, ne cherchez pas des problèmes.
Lisez dans la Bible, les israélites étaient nombreux mais, sur SIX CENTS et quelques MILLE (600 000 environs) sortis d’Egypte combien étaient arrivés à la terre promise là où coulaient le lait et le miel? Ce n’est pas DEUX ?
C’est DEUX (2) ! 2 personnes seulement étaient entrées à CANAAN, la terre promise. 2 personnes seulement étaient arrivées à CANAAN c’était JOSUE et CALEB parce qu’ils observaient et mettraient en pratique les lois et commandements. En revanche, les gens « comme nous autres » sommes restés loin derrière et ne sommes jamais arrivés. Lisons la Bible, les gens disaient mais MOISE est un pauvre type…mais nous les humains…
Fin du message

Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.

3) Sa passion

LA PASSION DU GRAND MAITRE DE L’OPH DU 22 DECEMBRE 1979 AU 8 JANVIER 1982

1) PREFACE :

Ce document que je mets à votre connaissance n’a aucune ambition ou idée de vengeance, bien au contraire il doit être un élément de réflexion pour les frères et sœurs qui voudraient sincèrement évoluer en spiritualité.
Sa présentation très modeste doit freiner l’esprit d’analyse qui nous incite quelque fois à formuler des critiques inhumaines.
Instruisez vous frères et sœurs en lisant attentivement ces écrits de votre Grand Maître qui déballe le déroulement d’une horrible passion.
Que ces souvenirs vous servent de marchepied pour atteindre le salut éternel.
En avant vers la Gloire du Seigneur Jésus Christ.
Paix profonde du Christ à tous les frères et sœurs.

 

Votre Aimé et Cher Grand Maître
Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
2) AU DEBUT DE 1975

Je devais installer 2 bureaux de notre Organisation au niveau de DUO et MAHOUTA, deux quartiers de Pointe Noire, ceci pour me faciliter la tâche. Au même moment, c'est-à-dire à la même période je devais me rendre à LOUDIMA, ville située dans le département de la LEKOUMOU.
3) VERS LA FIN DE 1975 et 1976
Comme toujours, je me suis rendu à Pointe Noire pour continuer à travailler.
Arrivé à Pointe Noire, j’ai trouvé une situation très alarmante au sein des 2 bureaux qui s’étaient organisés avant contre moi EMILE.
Les gens qui formaient ces deux bureaux s’étaient détournés de mon enseignement en adoptant des paroles contraires aux miennes.
Compte tenu de la situation qui prévalait à cette époque, je me suis rendu aussitôt de nouveau à LOUDIMA.
Deux jours après mon arrivée, je reçus une visite d’un frère du groupe qui me dira : « les deux bureaux se sont entendus, ils cherchent à te faire périr pour bénéficier de tes miracles. Ils ont choisi comme prétexte ce qui suit : « Le soit disant Grand Maître vous freine dans votre évolution spirituelle, quant à nous, il nous a tout donné et sommes capables de vous avancer rapidement en spiritualité mais LOUFOUA nous gêne dans l’évolution spirituelle. Il faudrait donc l’éliminer physiquement »
Parmi les meneurs qui prodiguaient ces conseils, un avait signé un pacte avec une maison mystique et devait mourir dans 3 jours qui suivant le jour où il m’a rencontré. Selon les renseignements fournis par ses propres collaborateurs, cette mort devait arriver après épuisement de l’échéance relative au pacte signé. Pour le sauver, le défunt Monseigneur de l’époque était incapable d’arrêter les esprits qui venaient pour réclamer son âme. Même le réputé Pasteur du pays de l’époque était également incapable de sauver la vie de ce dernier.
S’étant sentis incapables, notre meneur devait être refoulé simplement chez lui.
Lorsqu’ils l’ont amené chez le Magori (fétiche) EMILE, ce dernier était sauvé et ce jusqu’à présent. Parlant toujours des meneurs, l’ami à celui qui a été sauvé aspirait à la fonction de féticheur. Le fétiche qu’il voulait manipuler s’appelle le NKOKO. L’initiateur de ce dit NKOKO, lui avait demandé, pour son épanouissement, des âmes pour qu’il devienne féticheur de NKOKO comme lui.
Certainement, ce dernier avait honoré les vœux de l’initiateur de NKOKO ! Preuve ? Il y en a plusieurs.
Après il fera ma découverte.
Il viendra me voir. Il demandera à Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO de lui venir en aide sur beaucoup de problèmes dont il souffrait. Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO viendra à son aide, et après ce dernier lui demandera de l’introduire dans son Organisation : Chose faite.
Par la suite, ce dernier était passé adhérent de l’Organisation que représente LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile.
Ces meneurs ingrats dont la vie était déjà terminée et finie, qui seraient aujourd’hui poussière comme le commun des mortels, après leur avoir accordé des secours appréciables jusqu’à retrouver leur vie, se sont entendus pour me faire périr physiquement par simple jalousie.
Les prétendus sages et hommes très avancés en spiritualité étaient incapables de résoudre les problèmes qui étaient les leurs.
Pour réussir à leurs manœuvres diaboliques, ils ont acheté des machines à écrire pour recopier les réponses de notre Organisation, rappelons en passant que dans le passé notre Organisation nous répondait par écrit.  C’était un moyen de prendre les sacrifices d’autrui afin de les utiliser à leur fin. Ils fomentaient tout ce qu’il fallait fomenter pour noircir le nom, la réputation et la vie de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO. Ma photographie était placée partout, exposée partout, pour que je sois au vu de tout le monde et pour que n’importe qui, même de la rue, me connaisse en cas de recherche au moment opportun.
Chose qui était faite par les 2 dirigeants des bureaux de l’année 1976-1979. Ces deux présidents de l’époque avaient qualifié notre O.P.H d’un « Magori » et surtout son Représentant.
Les conseils de détournements devaient être prodigués aux frères et sœurs qu’ils encadraient en disant « LOUFOUA vous trompe, vous vole, c’est un escroqueur, un malfaiteur, TUONS LE…Nous sommes très capables de le relever, de vous amener rapidement en vous élevant spirituellement. Ce soit disant Maître nous gêne, faisons tout pour l’éliminer physiquement »
Rassasiés de leurs conseils, les plus proches de ces deux présidents toujours avertis des manœuvres d’élimination qu’ils organisaient me mettaient constamment au courant sans que les chefs des complots ne le sachent.
A Pointe Noire, les réunions se tenaient à ces propos, c'est-à-dire ils ne priaient que l’élimination d’Emile. Ils allaient brûler des bougies sur les montagnes tour par tour, tout ceci uniquement pour arriver à éliminer un pauvre type comme LOUFOUA qui leur a rendu des services jusqu’à sauver leur vie.
4) En 1977 et début 1978
Je me suis encore rendu à Pointe Noire.
En arrivant, l’atmosphère semblait plus émouvant, je cherchais à tenir une réunion entre les deux bureaux pour régler leur conflit. Dans leur finesse les deux bureaux ont manifesté devant les frères et sœurs qu’ils ne s’entendaient pas, or au fond c’était une bonne cuisine des loups, une ruse pour me faire venir à Pointe Noire et de m’avoir afin d’accomplir leur sombre mission.
Le soir même de mon arrivée à Pointe Noire, j’ai essayé de voir le 1er et le 2ème Présidents d’une manière inattendue. Je voulais savoir la cause fondamentale de leur mésentente. En réponse on m’adressa des menaces dans des tons ahurissants. Les frères et sœurs préparés pour la circonstance ne voulaient plus me sentir en me disant que vous devez être Grand Maître pour les autres mais plus jamais pour nous. Ceci se passait à MAHOUATA au 1er bureau. Désolé, j’étais sorti de la case pour rentrer à mon domicile. Dans la rue, les jeunes commençaient à m’indexer et criaient en disant : « tu as été toujours protégé mais maintenant tu es livré par tes propres membres. Ta fin approche, c’est fini, tu es livré par tes propres membres. Ta fin est approche, c’est fini, tu ne repartiras plus jamais à LOUDIMA où tu as toujours l’habitude d’aller te cacher. »
Déçu, tout tremblant, j’ai fait un effort de partir. Etant à pied et ne pouvant plus arriver à DUO c'est-à-dire au domicile du 2ème Président, je suis allé chez moi à VOUNGOU dans la nuit.
Le lendemain, samedi matin donc, devant ma porte, le sol était labouré par plusieurs traces de beaucoup de marques de chaussures. Deux jours après, le soir du dimanche à lundi, je me rendis vers le mont LOUSSALA, près de KM4, à Pointe Noire, où j’eus passé la nuit. A la veille j’étais allé voir le doyen BAKALA Nicolas. Ce dernier m’avait réconforté et après je devais aller chez le frère Hubert passer la nuit. Au lendemain, j’avais demandé aux 3 frères qui étaient venus me rendre visite d’aller me déposer à HINDA Gare CFCO chez mon ami pour me reposer.
A la gare de HINDA, vers 6 heures du matin, j’avais vu autour de moi 4 jeunes en train de parler en me montrant du doigt et disant tout en s’interrogeant : «  C’EST LUI » ? Les autres acquiesçaient : « OUI C’EST BIEN LUI ». Suffoqué d’émotion, puisque j’étais accompagné d’un certain BOUNKAZI Séraphin que nul parmi les anciens de l’OPH n’ignore, j’avais donc dit à mon compagnon qui était le 1er promoteur en divulguant tout ce qu’il savait de mauvais que fomentaient contre moi les deux bureaux anciens DUO et MAHOUATA. Ne voulant pas demeurer sur place, je demandais à mon compagnon d’avancer à pied tout doucement jusqu’à ce que nous ayons l’occasion de rentrer à Pointe Noire. Tout en progressant dans la marche à pied avec le 1er, à quelques mètres de la gare de HINDA, sur la Nationale 1 qui relie Brazzaville et Pointe Noire, une foule de jeunes gens avait barré la voie. Sans crainte nous avions avancé à proximité, près du groupe de jeunes, ils disaient à haute voix en m’indexant, sautillant de joie : « Grand Maître aujourd’hui samedi, tes intestins seront dehors et broyés ». Chacun avait à la main un coupe-coupe ou un bâton. Le groupe se composait au moins de 30 personnes, tous, des garçons. Je continuais à avancer en passant au milieu d’eux. Après quelques dizaines de mètres, nous fûmes arrivés à un village mon ami et moi. Nous nous étions arrêtés pour attendre le car afin de nous rendre à Pointe Noire. Ce fut un jour de samedi.
Compte tenu des menaces que proférait la foule des brigands qui en voulait à ma vie, je ne pouvais plus continuer à faire la distance à pied. Que racontaient les gens à haute voix ! Ceux qui constituaient la foule : «  aujourd’hui Emile ne repartira plus jamais vivant à LOUDIMA là où il a l’habitude de fuir. Nous attendons notre chef qui vient derrière pour accomplir notre mission. Tout ceci se disait à haute voix.
Aujourd’hui c’est fini, ta vie est terminée. Tu nous as trop menti et volé des sacrifices.
Les 2 bureaux t’on écarté et vendu. Nous avions reçu les instructions et tous les droits de te tuer. Ces jeunes parlaient à haute voix.
Très désolé, je devais déclarer : Seigneur Dieu le Créateur depuis ma naissance jusqu’à ce moment précis si j’avais fait du mal à mon prochain, ou si j’avais menti un frère, une sœur ou d’autres personnes consciemment ou inconsciemment, Seigneur laisse et donne la force et le courage à ces jeunes de me faire mourir ; mais si c’est par la jalousie des gens, Seigneur aide-moi.
Démoralisé et très touché du fait que les frères sur lesquels j’avais mis tout espoir et confiance me jouaient un coup qui coûterait ma vie terrestre et un instant, j’avais demandé à mon Dieu de m’aider très sérieusement.
Le groupe s’étant calmé, sur le champ on voyait venir une Land Rover bien chargée de bois de chauffage. Je demandais à mon compagnon de l’arrêter. Ce dernier me répondra qu’elle est trop chargée et il est impossible qu’elle puisse nous transporter.
J’insistais et l’ami fit signe. Le véhicule s’arrêta et nous prit à bord.
Le chauffeur nous interrogea où devrions nous descendre ?
A Pointe Noire, avions nous répliqué. Arrivés au marché de MBOTA nous descendîmes et avions pris aussitôt une voiture taxi jusqu’à DUO où je devais me reposer. On était chez le Président du bureau de DUO. La salle où on s’était rassemblé était pleine des gens qui parlaient à voix basse. Dès qu’ils étaient rendus compte que j’étais déjà dans leur milieu une panique les gagna. Certains étaient presque étourdis. Je commençais de faire le compte rendu de tout ce que j’avais vécu et enduré au cours de ma sortie. L’Assemblée n’osait pas m’écouter, me suivre et me comprendre. A cette époque, mon épouse grosse et à terme était abandonnée chez ce frère Président de DUO. Compte tenu des menaces que je franchissais, j’avais préféré laisser ma femme pour l’accouchement à Pointe Noire. Comme le Président de DUO souhaitait la garder chez lui jusqu’à l’accouchement, j’avais accepté et la conclusion était tirée sur cette affaire.
Au lendemain matin, un dimanche, je devais voyager sur LOUDIMA où j’habitais eu égard au comportement des frères et sœurs à Pointe Noire à l’époque.
La première scène s’était passée le samedi de 8 heures à 10 heures du matin.
A mon absence de Pointe Noire, la clique des ambitieux racontait des choses invraisemblables à voix basse à mon endroit. Un des conspirateurs, toujours averti des démarches diaboliques qu’ils organisaient viendra à LOUDIMA pour me tenir informé de vive voix de tout ce qui se tramait.
Quelques jours plus tard mon épouse accouchera d’un garçon nommé Ismaël Dieu merci.
5) Au début du mois d’octobre 1979
Mon épouse me rejoindra à LOUDIMA. Comme le climat devenait de plus en plus malsain entre les 2 bureaux, mon épouse était obligée d’écourter son séjour à Pointe Noire bien qu’ayant accouché récemment. La mésentente sournoise n’avait pas d’autres buts que de m’avoir. Je m’étais décidé de me rendre à Pointe Noire pour la circonstance.
6) Le 22 décembre 1979
Je réalisais de nouveau le voyage sur Pointe Noire pour voir ces frères afin de tenter encore une réconciliation. Arrivé à l’aérodrome de cette capitale presque tout Pointe Noire était au courant selon les gens qui parlaient en pleine rue quand je passais à pieds.
J’étais passé voir 2 frères qui travaillaient dans une même compagnie. L’un de ces frères m’accompagnera jusqu’au siège de MAHOUATA. Parvenus au lieu quelques minutes plus tard l’atmosphère au sein des frères et sœurs commençait à se ternir. A peine un moment le président de ce siège arrivera et me dira bonjour tout furieux. Il rentra dans sa chambre, sortit pour aller s’entretenir avec les frères et sœurs qui se trouvaient dehors.
La causerie terminée, il rejoignit la maison où je me trouvais c'est-à-dire au salon de sa propre maison. En un tour de main, les frères et sœurs se regroupaient et se parlaient à voix basse. Il faisait déjà 13h puis 13h 30mn et enfin 15h. A cette heure là l’atmosphère se ternissant de plus en plus, s’amplifiait. J’étais alors devenu une bête noire à leurs yeux.
Emotionné par le langage du président et ses proches collaborateurs, je ne comprenais plus ce qui devait m’arriver.
Vers 17h, un hôtel devait m’être proposé en ville de Pointe Noire et le numéro de la chambre était « 62 ». Vraiment, devant cette situation éblouissante, j’étais plus que menacé. Pour partir du lieu, je leur demandais d’aller au cinéma mais le groupe ne voulait pas m’accorder cette permission. C’était par insistance que je réussirai à y aller non pas à bord d’une voiture proposée pour mes courses disait-on mais à bord d’une voiture d’un frère que je voudrais pas révéler le nom ici.
Dans la salle de cinéma j’avais retrouvé tout le monde qui se retrouvait au siège de MAHOUATA cette soirée là.
Le film qui nous était présenté correspondait à la scène qui m’attendait en cette période difficile.
Vers minuit, nous étions sortis du cinéma et nous nous étions rendus à l’hôtel pour annuler la chambre déjà payée par eux. La chambre dans laquelle je devais passer la nuit. Les quelques heures qui restaient pour voir le jour, ont été écoulées ailleurs. La troisième nuit, je m’étais déplacé du lieu où je me trouvais pour aller passer la nuit sur une certaine montagne. Quand je quittais ce lieu, après viendra un groupe de gens me chercher aux environs de 3 heures du matin pour les intentions qu’ils connaissaient.
Celui qui m’apportera l’information devait me faire connaître le programme arrêté. Cette fois ci ce fut un autre qui m’accompagnera. Pas celui du mois d’octobre.
Mon compagnon était resté au lieu où je dormais. Aux environs de 3 heures du matin, il était dérangé par un groupe de gens qui frappaient fortement la porte et disaient : « Faites-nous sortir ce grand voleur, l’escroqueur, le faux Maître, le Magori féticheur, voire même Magicien »
Comme ils insistaient à toquer la porte, mon compagnon ouvrit la fenêtre, remarqua dans le groupe la présence du président de MAHOUATA à l’époque parlant et éclairant la chambre qui m’a été destinée avec une lampe de poche ; heureusement que j’étais absent cette nuit là, sinon j’étais bon, je devais mourir. Chacun d’eux possédait un bâton qu’il brandissait. N’étant pas satisfait, le groupe va ouvrir la porte en vérifiant si réellement j’étais absent.
Le lendemain matin, mon compagnon viendra m’apprendre la nouvelle odieuse et dramatique. Paniqué en moi-même je ne savais où aller et que faire. La majorité des frères et sœurs devenaient discrets et les autres me fuyaient. J’étais resté très déçu. Les slogans allant dans le sens de la critique destructive faisaient rage. J’étais très, très abattu. Sincèrement, j’étais resté seul et sans parole aucune. Ceci se passait entre les dates du 22 au 23 décembre 1979.
7) Au matin du 24 décembre 1979
La passion était plus que jamais dure. Je ne me permettrais pas de tout raconter parce que c’était plus que lamentable et très triste. La passion continuera du 24 décembre 1979 au 8 janvier 1980. On m’enferma dans une maison où un groupe de gens me gardait. Tous ceux qui me gardaient étaient devenus mes ennemis. Imaginez lorsqu’un ennemi te garde et surveille sur place, quelle idée peut-on avoir ?
Tout en me gardant, ils se moquaient et faisaient tout ce qui leur semblait bon à mon endroit.
Ce que je relate maintenant, les frères et sœurs des 2 bureaux de l’époque ne l’ignorent pas. J’étais bien enfermé dans une maison, celle d’un président de notre Organisation choisi par moi-même. Cette maison du président de l’époque se situait au bord de la grande circulation bien goudronnée qui mène au fond de NTIE-NTIE et à la ville de Pointe Noire dans le quartier DUO. J’étais gardé et ensuite transporté à l’abattoir lieu qui était destiné pour me faire mourir et brûlé sans tombeau. Ce que je me permets d’écrire ici étaient bien les paroles qu’avançaient les meneurs, les auteurs du mouvement ou attentat de 1979 à 1980.
Nul de Pointe Noire n’ignore cette situation dramatique qu’a connu LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile en cette période très pénible.
Actuellement, je remarque que la façon de sensibiliser les adeptes change chez les autres membres. Ce n’est pas étonnant parce qu’au moment où le Seigneur Dieu avait fait partir de la Belle Cité son premier ange Lucifer devait s’enorgueillir et n’obéir plus jamais à l’Eternel son Dieu qui lui avait octroyé cette puissance. En le chassant des Cieux Lucifer qui était devenu SATAN dira : Je veux tout faire pour détourner tout le monde d’être à mes côtés et l’Eternel répliquera en disant ça ne fait rien même si on trouvait un seul sur la terre, il nous suffira de prêcher la Bonne Nouvelle.
Il en sera de même pour tous ceux-là qui tentent détourner les enseignements de notre Organisation LOUZOLO. Seulement qu’ils comprennent que chaque acte mérite toujours un salaire. Qu’ils s’attendent à des récompenses.
Les gens qui voulaient de moi et qui continuaient à m’en vouloir appartenaient à beaucoup de maisons mystiques, fétichistes et autres. Ont-ils cherché à exterminer physiquement ou tuer leurs premiers initiateurs ?
Pourtant malgré les sommes d’argent versées par eux à ces maisons ils n’avaient jamais des résultats satisfaisants. Pourquoi ne cherchaient-ils pas à réclamer leur argent ?
Maintenant qu’ils ont à faire à un Congolais, ils s’activent pour me faire du mal. C’est une lâcheté. Notre O.P.H. à travers son Représentant les avait aidé efficacement jusqu’à obtenir la guérison de leurs maladies, la résolution de leurs multiples problèmes mais malgré ce bienfait,  en récompense ils tentent toujours à me faire du mal.
Voici ce que pense celui-là. Si tous ceux qui avaient sollicité l’aide spirituelle pour leurs multitudes problèmes ont été aidés jusqu’à recevoir les résultats tant attendus, il est aussi possible de les mettre à leurs places où ils avaient été trouvés et Dieu rendra justice.
Nous pouvons nous tromper entre nous mais au grand jamais n’arriverons nous à tromper Dieu.
Je redemande à toutes et à tous de se retirer librement si la voie ne leur plaît plus au lieu d’enliser les autres dans leur comportement.
Posez votre problème librement sans tapage et je vous remettrai ce que vous avez dépensé pour l’Organisation au lieu de chercher ma mort. Sache bien frère que tu ne seras pas Eternel sur cette terre et Dieu notre Grand Dieu rendra justice. Jamais tu n’échapperas à son épée.
La justice est demandée et déclarée.
Chacun aura sa réponse exacte même s’il pense seulement au fond de lui-même le mal de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO.
La justice Divine est déjà déclarée. Chacun doit faire son examen de conscience. Dieu donnera la récompense à chacun d’entre nous.
Voilà à peu près frères et sœurs les raisons qui ont fait que cette fête des enfants du 24 décembre de cette année 1982 soit pour moi Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO mon premier anniversaire de ma passion organisée et déclanchée par mes proches collaborateurs qui étaient dans leurs difficultés au seuil de la mort et auxquels j’ai sauvé la vie.
Cet anniversaire sera célébré chaque année en mémoire de la passion du Grand Maître Guy
Emile LOUFOUA CETIKOUABO.
Tous les frères et sœurs adhérents de l’O.P.H. de génération en génération doivent et devront pénétrer, vivre et méditer ce douloureux événement chaque année du 22 décembre au 8 janvier.
Lisons dans Psaume 100 : 1-5
1 Psaume de louange. Poussez vers l`Éternel des cris de joie, Vous tous, habitants de la terre!
2 Servez l`Éternel, avec joie, Venez avec allégresse en sa présence!
3 Sachez que l`Éternel est Dieu! C`est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons; Nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage.
4 Entrez dans ses portes avec des louanges, Dans ses parvis avec des cantiques! Célébrez-le, bénissez son nom!
5 Car l`Éternel est bon; sa bonté dure toujours, Et sa fidélité de génération en génération.
Que la Paix vous soit donnée de la part du Seigneur Jésus Christ Notre Dieu.

AMEN
Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO

 

4) Son message de décembre 2000 annonçant son attentat

MESSSAGE DU Grand Maître de l’OPH Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
Congo Brazzaville Décembre 2000

A mes très chers aimés et respectés,
A mes très chers aimés et respectés,
A mes très chers aimés et respectés,
Mes gros, gros, des gros chefs,
Mes grands, grands, des grands chefs,
Les gros KALAKA de l’ASLA OPH,
Les frères et sœurs de l’ASLA du Congo et du monde entier,

 

Je suis votre bien-aimé Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO Président Fondateur de l’Association Louzolo Amour OPH, Asscociation de bienfaisance à caractère spirituel. Demeurant à KIBOSSI GARE CFCO à quelques 38 KM par la voie ferrée de la capitale Brazzaville.
Je vous envoie ce message à la veille de la fête de NOEL commémorant la naissance de Notre Seigneur Jésus Christ du 24 au 25 décembre 2000.
Cette fête est toujours celle que nous fêtions tous les ans.
A la veille de cette fête, je vous souhaite une bonne et excellente fête ; Bonne et heureuse année 2001.
Je suis votre bien-aimé, frère Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO que vous connaissez.
Je n’ai pas grand-chose à vous dire sinon, vous proposer quelques chants, un voire deux chants. Comme je vous l’avais signalé, depuis quelques années,  j’ai reçus beaucoup de chants. Avant de vous les proposer, je voudrais repréciser un certain nombre de choses relatif au comportement de mon neveu MPASI MOUNZEMBELE André.
En effet, dit-on qu’il voulait me demander pardon pour la faute qu’il aurait commise à mon égard or, au lieu de le faire, il est venu me salir.
En se référant aux messages contenus dans les cassettes que j’ai reçues à ce sujet, je constate  que son agissement est lamentable.
Dans ce messages il dit ce qui suit : « je ne peux pas demander pardon à un frère ou une sœur… » Je suis outré par les propos d’un chrétien qui lit la Bible ! Quelle Bible lirait-il finalement? Alors que la Bible nous relate que lorsqu’on a un différent avec son prochain, on doit d’abord s’atteler à lui demander pardon avant d’aller se présenter devant l’Eternel pour lui demander pardon ! Mais lui, il dit : « Je le fais à Emile parce qu’il est le Président Fondateur de l’ASLA sinon je ne suis pas obligé de la faire ».
Ah, Quelle Bible lit-il ? Sa Bible à lui serait peut être différente !
Si c’est la même Bible que nous lisons tous, alors il ignore la Parole clef de Jésus Notre Dieu qui disait dans l’évangile selon Mathieu dans le chapitre 5 versets 23-26 ce qui suit :

23 Si donc tu présentes ton offrande à l`autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi,
24 laisse là ton offrande devant l`autel, et va d`abord te réconcilier avec ton frère; puis, viens présenter ton offrande.
25 Accorde-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui, de peur qu`il ne te livre au juge, que le juge ne te livre à l`officier de justice, et que tu ne sois mis en prison.
26 Je te le dis en vérité, tu ne sortiras pas de là que tu n`aies payé le dernier quadrant.

Mais lui MPASI dit : Je suis obligé de le faire parce qu’il est le Président Fondateur de l’ASLA OPH.
Ah ! Je me demande quelle Bible lit-il ? Sa Bible serait peut être une autre !
Ensuite, il a toujours dit, répété et insisté qu’Emile n’est pas le Représentant Légal de l’OPH sur terre et que ce serait UN TEL.
J’en suis vraiment étonné ! Comment peut il s’exprimer ainsi alors qu’il ne connaissait pas OPH le nom révélé de Dieu. Il ne savait pas que Dieu s’appelait également OPH.
Je précise et je signe que nul humain de cette terre ne savait que Dieu s’appelait aussi OPH.
Il avance que ce n’est pas moi qui suis le représentant légal de l’OPH sur terre mais UN TEL et que ce dernier est l’adjoint de Jésus Christ !
Même vous aussi, l’auditoire, séduits par ses divertissements vous l’écoutez et acquissez ses propos.
MPASI ne savait pas que Dieu, en dehors de ses nombreuses appellations, s’appelle aussi OPH !
Si on se réfère à la genèse de l’Association:

  1. Premièrement : Il ignorait que Dieu s’appelle aussi OPH
  2. Deuxièmement : Les personnes qu’il met au même pied d’égalité avec moi ont des nominations purement et simplement terrestres c'est-à-dire que ce sont un conseil des hommes qui les nomme.

Par contre moi, ce n’est pas un homme de cette terre qui m’a nommé mais LUI-MEME DIEU OPH. Il m’a nommé  « petit CAPITA de l’OPH » c'est-à-dire son Représentant Légal sur terre.
C’est JESUS CHRIST LUI-MEME qui m’a confié sa mission secrète et non un homme de la terre.
C’est LUI-MEME l’Eternel Dieu qui m’a confié sa mission secrète, c'est-à-dire : Dieu le Père LUI-MEME, Son Fils et le Saint Esprit car les trois (3) ne sont en réalité qu’UN MEME, SEUL et VRAI Dieu.
PERE-FILS-SAINT ESPRIT=1.
C’est avec ses personnes nominées par les humains que MPASI veut me comparer.
Ce que je dis, vous le savez bien vous êtes de LOUZOLO car tous les lundi à la permanence vous y aller pour l’écouter.
Je précise et note que ces personnes là sont nommées selon les études qu’ils ont suivies, ce seraient peut être des cours spéciaux à l’issue desquels ils obtiendraient des diplômes pour être nominées à tel ou tel poste de responsabilité que sais-je ! Mais en ce qui me concerne moi Emile, personne de la terre m’a formé si ce n’est LUI-MEME Dieu. Je n’ai pas été formé sur cette terre mais depuis là-haut, loin là-bas, c'est-à-dire depuis la demeure de Dieu ; L’Eternel YAHVE SABAOTH notre Dieu ; Le Dieu d’ABRAHAM, d’ISAAC et de JACOB.
Ce qu’avance MPASI ne sont que des contrevérités pour vous divertir.
MPASI ne savait pas que Dieu s’appelait aussi OPH c’est de ma bouche qu’il l’a appris depuis 1980 quand il a débuté dans LOUZOLO.
D’ailleurs au commencement il n’était pas assez motivé car il croyait que c’était une affaire familiale puisque je suis son oncle.
Ce sont les autres frères comme Papa NKOURISSA, Papa YOULOU Antoine qui s’intéressaient beaucoup plus à LOUZOLO que lui.
Il n’accordait que peu de considération à LOUZOLO et, c’est seulement longtemps après  qu’il avait « pris goût ». C’est à partir de ce moment qu’il a entendu parler de l’OPH.
MPASI que vous connaissez ! Le même change de veste et se met à dire autre chose à savoir : « Le représentant Légal de l’OPH sur terre c’est UN TEL et non Emile ».
Vous en êtes bien témoins vous qui l’écoutez et curieusement, vous acceptez ses contrevérités et en êtes convaincus !
Alors que sur cette terre, je dis bien sur cette terre, personne ne savait que Dieu s’appelait aussi OPH, je suis le seul au monde à le révéler !
C’EST MOI QUI AI REVELE QUE L’ETERNEL DIEU S’APPELLE AUSSI L’OPH.
Vous vous direz certainement que c’est JESUS non !
A cette question, je réponds par l’affirmatif ! OUI, effectivement le Père, le Fils et le Saint Esprit sont UN et cette vérité, je ne cesse de vous le dire, de vous l’expliquer maintes fois dans les cassettes, dans les notes circulaires etc.
Dieu est d’abord le Père et puis le Fils et enfin le Saint Esprit ce sont trois (3) personnes en une seule c'est-à-dire que c’est une SEULE PERSONNE : l’Eternel notre Dieu, YAHVE, le Père de nos ancêtres, le Créateur de toutes choses : Dieu, Eternel.
En fait, au commencement, il était le Père et comme les enfants d’Israël cherchaient à le voir et bien, il est venu naître en tant que Fils de Dieu, Jésus Christ. Vous connaissez la suite puisque je vous ai déjà expliqué cela à maintes reprises qu’au commencement était la Parole et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu.
Par conséquent, L’OPH c’est bien lui-même JESUS et moi je suis Son Représentant Légal, je précise bien : JE SUIS LE REPRESENTANT LEGAL DE JESUS SUR TERRE, c'est-à-dire le Représentant Légal de L’OPH SABAOTH YAHVE notre Dieu sur cette terre.
J’insiste encore que c’est moi qui ai été choisi pour CONTINUER LA MISSION SECRETE DE JESUS CHRIST sur terre ; SA MISSION SECRETE.
Mais pourquoi vous acceptez sans rechignez les contre vérités de MPASI au lieu de ne pas l’écouter attentivement et ne pas accepter ses discours.
Par rapport à ce que je vous ai relaté concernant le commencement, MPASI ignorait que Dieu s’appelait aussi OPH c’est de ma bouche qu’il a entendu le Nom de L’OPH.
Maintenant, il oublie tout le passé et avance qu’il n’y a qu’un seul représentant de Jésus sur terre qui s’appelle UN TEL.
C’est ce qu’il dit chaque fois dans vos assemblées.
On ne doit pas me mettre au même pieds d’égalité que les personnes qui ont été formées par les humains ; Je précise et signe que c’est Dieu lui-même qui m’a formé, et prédestiné pour être SON REPRESENTANT, c'est-à-dire le représentant Légal de l’Eternel Dieu.
Je vais encore vous rappelez ces quelques vérités que je vous ai déjà révélées.
Voici ce que Dieu lui-même m’a révélé : « Emile depuis que tu as été crée et ce, jusqu’au jour où tu quitteras cette terre, je n’ai pas crée une autre créature semblable à toi, c'est-à-dire qu’il n’y a point d’autres créatures qui ont été façonnées comme toi, en vérité, je te le dis, il n’y en a pas, TU ES LE SEUL »
Cette révélation, je vous l’ai déjà donnée.
Alors, que MPASI arrête de perturber inutilement le peuple de Dieu car s’il continue de perturber le peuple de Dieu de la sorte, Ah ! Hélas….Il ne faut pas badiner avec Dieu.
Lui-même se rendra compte de la non considération dont il fait montre à l’égard de Dieu.
Dieu a ses projets, sa résolution, ses préceptes, ses commandements…et tient à les tenir par conséquent, il ne tolère pas que quelqu’un entrave sa mission.
Mais si MPASI entrave sa mission en suscitant la confusion dans les esprits de gens, Son Peuple, Le Peuple de Dieu Ah ! Ce sera fatal pour lui.
S’il ne manifeste aucun désir de changement quant à sa mauvaise conduite, Ah ! Revenir aux Pieds de Dieu lui sera difficile voire impossible.
Compte tenu de la situation dans laquelle il s’est délibérément mis, ce sera très compliqué pour lui de se racheter.
Je vous ai toujours affirmé que les disciples de satan connaissent mieux la Bible que les enfants de Dieu ou les serviteurs de Dieu.
Satan suggère et donne toutes les méthodes possibles et inimaginables à ses agents dans le seul but d’égarer le maximum d’humains car ils ne veulent pas aller seuls en enfer et, ils veulent que le plus grand nombre les suive.
Ce n’est pas une mauvaise chose d’écouter leurs conseils.
Mais au dernier jour du Seigneur, ne vous étonnez pas si vous ne méritez pas les Cieux à cause de votre égarement.
Je vous ai toujours dit et répété que sur cette terre il y a déjà des Elus de Dieu et, il ne leur reste qu’à faire très attention pour ne pas tomber dans un péché impardonnable.
Mais, contre sensibiliser les gens pour entraver la mission de Dieu, est UN PECHE TRES GRAVE aux yeux de Dieu.
Si MPASI ne fait pas d’effort Ah ! CE SERA TRES DUR POUR LUI.
En ce qui me concerne, cela ne me fait ni chaud ni froid quoique j’éprouve de la pitié dans mon cœur.
Il dit qu’il ne peut pas demander pardon à un frère ou à une sœur parce que c’est une personne comme lui c’est la raison pour laquelle il ne peut demander pardon qu’à Dieu.
Ah ! Je me demande quelles connaissances bibliques ont-ils !
Permettez moi de redire et de repréciser que : « JE N’AI PAS ETE NOMME PAR UNE PERSONNE HUMAINE, UN TERRIEN, NON ! CHEZ MOI C’EST INNE.
C'est-à-dire que je suis né avec cette fonction. En d’autres termes, Dieu m’a nommé depuis que j’ai été crée, depuis où je suis sorti, dès le commencement.
Cette vérité m’a été révélée là bas…
Comme je vous le dis et redis souvent, Dieu m’avait révélé que sur cette terre de péché, il n’y a pas d’autres hommes qui ont été crées comme je l’ai été, façonnés comme je le suis. Dieu me dira : « EMILE TU ES LE SEUL A ETRE CREE DIFFEREMMENT. UNIQUE SUR TOUTE LA TERRE HABITEE JUSQU’AUX EXTREMITES DE LA TERRE. ET LORSQUE TU QUITTERAS CETTE TERRE, APRES AVOIR ACCOMPLI LA MISSION QUI T’A ETE CONFIEE, NOUS T’APPELERONS CHEZ NOUS ENSUITE NOUS VERRONS CE QUE NOUS ALLONS ENCORE FAIRE ».
Ce sont là les Paroles d’Honneur de Dieu.
Alors dites moi s’il vous plaît : S’il y avait un autre représentant de l’OPH sur terre, admettant qu’il en ait un, pourquoi c’est à moi que Dieu révèle cela ? C’est à moi qu’il a dit que si le moment est arrivé, nous allons voir ce que nous allons faire par la suite.
Pourquoi les frères et sœurs « amis d’Emile » ne savez plus que faire ! En écoutant des contre vérités vous vous égarez sans efforts et entretenez des confusions dans vos cœurs et dans vos têtes faute de discernement !
Non, ne soyez pas des « confusionnistes ».
Dieu m’avait dit «  que pendant tout ton séjour sur terre, depuis ta naissance, quoique tu sois un humain, tu n’es pas comme les autres humains de la terre car tu es le seul que j’ai façonné différemment et ce jusqu’à ce que nous allons t’appeler.
Le jour où nous te prendrons, nous allons voir ce que nous projetterons de faire.
Alors je défis quiconque de me dire si cette révélation a été aussi faite par un autre représentant de l’OPH comme le stipule MPASI.
Ah PITIE.
Je ne comprends pas ! Je n’ai aucun problème avec quelqu’un. Mais, seulement, cela me fait de la pitié quand même lorsque je vois dans quelle situation il s’est mis.
Et pourtant il était dans une religion, sa religion d’origine ! Mais qu’attend t-il pour y retourner ?
Je rappelle que depuis son enfance il appartient à cette religion et pourquoi il ne s’y retourne t-il pas ?
Qu’attend t-il ? Au lieu de vous induire en erreur.
Et puis vous aussi, vous qui êtes à LOUZOLO, vous savez qu’il y a des notes circulaires, des documents, mes enseignements etc. vous les déconsidérez pour suivre ce que MPASI vous dit.
Vous acceptez gratuitement que MPASI vous dise qu’il n’y a qu’un seul représentant légal de Dieu qui est UN TEL et non Emile !
Alors que MPASI a connu le nom de l’OPH par moi Emile.
Il n’avait jamais entendu parler de ce nom dans sa religion d’origine. Vous devez le sonder pour savoir si effectivement, il le connaissait au lieu d’acquiescer !
Comment est ce que les membres de LOUZOLO que cous êtes, acceptez les dires de quelqu’un qui vous égare?
Au lieu de faire attention, de reculer, vous êtes motivés de l’écouter et de le réécouter à la permanence de MOUKONDO.
Vous y allez non ! Pour écouter ses racontars ! NON ! NON ! NON !
Ecoutez, cela ne me fait ni chaud ni froid.
Si je parle de cela, c’est parce que j’ai en charge le Peuple de Dieu que je dois conduire vers Dieu en leur prodiguant de bons conseils qui les feront arriver auprès de Dieu le Jour J.
Heureusement Dieu est prévoyant ! Grand est mon Dieu car il ne m’avait pas permis de révéler un certain nombre de vérités aux hommes, s’il me l’avait autorisé, plusieurs faussaires comme MPASI allaient en profiter pour en faire une publicité partout !
Mais puisqu’ils ne le savent pas ! Ils sont limités !
Jusqu’à maintenant, personne ne sait ce que Dieu m’a révélé d’autre ! Selon Sa Volonté je le dirai quand il m’enjoindra de le faire.
Si les faussaires à l’instar de MPASI tombent sur ces révélations, ils vont profiter de l’occasion pour me discréditer. Comme ils sont très limités, voilà pourquoi ils vous divertissent en suscitant des confusions.
Questionnez le tout de même pour savoir si dans sa religion d’origine MPASI y avait appris le nom de Dieu, OPH ?
NON, ne soyez pas aussi crédules à tout moment ! N’acceptez pas toujours que l’on vous mente à tout moment !
Et puis vous aussi acceptez ! OH ! Je ne vous comprends plus ! Ce sont vos oignons, chacun est libre et le salut est individuel. Ceux qui veulent suivre ses conseils, c’est une bonne chose et suivre les miens l’est aussi mais à toute chose il faut considérer la fin or la fin est au dernier jour du Seigneur.
Je vous ai déjà dit qu’il y a ici sur terre les gens qui portent déjà leurs chaînes, ils les ont bien qu’étant vivants sur cette terre.
De même il y a aussi sur cette terre ceux qui ont déjà leur Vie Eternelle.
Car chez Dieu comme je vous le dis, il y a 2 camps : le camp de ceux qui sont enchaînés par des grosses chaînes courtes et le camp de ceux qui ont la Vie Eternelle, là où on saute, chante et on glorifie Dieu dans une joie indescriptible, c’est du jamais vu !
C’est depuis cette terre que tout se joue.
Je vous rappelle que les Cheveux de Jésus de couleur blanche ainsi que Sa Barbe blanche ont beaucoup poussé et débordent. Ses Cheveux et sa Barbe tombent jusqu’à sur la terre et nous les humains marchons dessus. Vous connaissez ces vérités car je vous les ai déjà révélées. Je vous le dis parce que personne sur cette terre ne peut échapper au contrôle divin. Les gens se croient tout permis et ignorent que tout ce qu’ils font et qu’ils disent n’échappe au contrôle de Dieu. Si les Cheveux et la Barbe de Jésus sont sur cette terre, cela veut dire qu’il voit tout et sait tout. Dieu lit dans les cœurs de tous les hommes, de toutes ces créatures, même celles qui sont enfouies sous l’eau, même celles qui sont au plus profond de l’abîme.
DIEU SAIT TOUT ET VOIT TOUT.
MPASI vous ment, vous les humains ! Mais il ne peut pas mentir à Dieu.
Pour se justifier, en ce qui concerne les finances, il a pris le micro pour vous dire qu’ils avaient ouvert un compte…Pour moi, Ce ne sont que des échappatoires ! Ce sont leurs affaires, s’ils avaient ouvert un compte, ce n’est pas à moi qu’ils rendront compte mais à Dieu.
Tout ce que je sais c’est que Dieu nous demande de demander pardon à ceux qu’on a offensés avant de venir lui demander pardon. Pendant que nous sommes sur terre, il nous donne l’occasion de nous rattraper en se présentant devant l’assemblée et procéder comme suit :

  1. Confesser ses péchés, dire ouvertement ce qu’on a fait du mal devant l’assemblée
  2. Prendre l’engagement de ne plus récidiver
  3. Demander pardon à l’assemblée en procédant de la manière suivante : par rapport à ce que je dis est ce que vous accepté de me pardonner ? L’assemblée répondra (oui par exemple) répétez le 3 fois.
  4. Puis, une fois que l’assemblée vous a pardonné, alors seulement vous pouvez demander pardon à Dieu.

C’est seulement en procédant de la sorte que Dieu mettra de coté votre passé. Pour que votre passé soit définitivement effacé, il ne faut pas que vous  récidiviez. Car avant d’annuler définitivement votre passé, Dieu vous surveillera pour attester que vous avez tenu à vos engagements. Dieu veillera à vérifier, à contrôler la sincérité de votre engagement.
Dieu saura si c’est une ruse car à l’instant où il pardonne, il poste ses services spéciaux aux aguets, au tour de la personne qui a demandé pardon pour le surveiller.
Effectivement, auprès de Dieu il y a des services spéciaux qui sont chargés de contrôler tout cela.
Je ne suis pas contre quelqu’un, l’homme est libre sur cette terre de faire ce que son cœur lui dicte de faire.
Si je parle, c’est parce que c’est ma MISSION, celle que Dieu m’a confié pour les humains. Je vais donc terminer mon message par ici et je vais vous dicter quelques paroles de chants.
Je reviens pour dire que les situations que MPASI créées sont les mêmes qui se sont déroulées dans le passé et vous le savez très bien.
Il avance que l’association est en retard par rapport aux objectifs à atteindre alors qu’elle existe depuis longtemps et rien n’avance !
Et, curieusement, il se plaint du fait que l’argent cotisé depuis des années soit détourné par le Président Fondateur alors que moi Emile, ne savait même pas comment étaient gérés les comptes ; Personne m’informait y compris lui-même en sa qualité de secrétaire général, gestionnaire de surcroît de ce même argent.
Et pourtant ce sont eux les gestionnaires de l’ASLA et ils connaissent parfaitement l’état des finances.
Ils créent sciemment des situations de ce genre pour m’exposer alors qu’eux, se taisent. Ils le font pour simplement, me discréditer, ternir mon image puisque je suis le Président Fondateur.
Ce sont eux qui géraient les sous et au moment où les gens leur demandent des comptes, ils m’exposent, ils donnent l’occasion aux gens de me salir et eux restent blanchis dans l’affaire. Ni le Comité Directeur, Ni le BCI me défendaient, personne n’a pris ma défense. Voilà en substance ce qu’ils disaient : « voilà cela fait 20 ans que l’Association existe et qu’au final rien a été fait de concret alors que les adhérents cotisent en vain ! Où est parti l’argent des collectes, des dons… ?
Curieusement eux-mêmes les gestionnaires de cet argent ne disaient rien ayant crée une situation pour me faire souffrir moi Emile.
Cette situation financière du passé est la même que MPASI veut réitérer d’ailleurs pour la première ils n’étaient pas parvenus à leurs fins.
Ah MPASI, ce ne sont que des futilités et je vous ai toujours dit que agir de la sorte est inutile.
Ce que je n’ai pas fait ou dit, de même toutes choses dont je ne suis pas responsable ou dont je ne suis pas auteur, ne peuvent se retourner contre moi.
Rien ne m’atteindra puisque je n’en suis pas l’auteur.
Je vous rappelle que Dieu connaît d’avance toutes choses et il sait comment tout régler et, il règle tout malgré leurs puissances qu’eux-mêmes connaissent, « ils entrent là puis sortent là bas » pour m’atteindre ou pour me nuire, ils perdent leur temps, c’est de l’idiotie.
Ils pensent peut être qu’ils sont des dieux, mais non, ils se trompent ! Puisqu’il n’y a qu’un Seul Vrai Dieu, il est là Vivant, Présent et c’est Lui Seul qui a crée toutes choses. Il est le Seul Juge et il jugera.
Dieu voit tout et Dieu sait tout !
Mpasi est en train de recréer les mêmes situations que dans le passé. Des situations relatives aux finances suscitées pour me discréditer, en vain.
Comme ils n’ont pas pu m’atteindre par ce moyen, voilà pourquoi Mpasi crée une autre situation cette fois ci relative à ma mission.
Il nie maintenant que je sois le représentant légal de l’OPH sur terre et que ce serait UN TEL.
Je reprécise que c’est de ma bouche que Mpasi a connu le Nom de Dieu, OPH car je l’avais appris aux frères et sœurs de LOUZOLO du monde entier.
Dieu a beaucoup de noms selon les langues, les peuples et les nations.
Chaque peuple, chaque nation et chaque langue appellent Dieu dans sa langue.
Non mes frères et sœurs ! Ne croyez pas à n’importe quoi !
J’avais dit à Mpasi que s’il veut être président, qu’il reparte dans sa religion d’origine mais pas à LOUZOLO.
Si les responsabilités que je lui ai données dans l’association lui sont insuffisantes, qu’il démissionne et parte tranquillement.
S’il veut avoir plus de responsabilité dans mon association, il attendra longtemps car cela ne viendra pas.
Qu’il retourne dans sa religion d’origine pour chercher des responsabilités, des titres etc.
Et puis, je demanderais à tous les LOUZOLIFIES de ne pas le suivre.
S’il s’avère que lors des assemblées Mpasi prend la parole, ne l’écoutez pas et rentrez chez vous.
Si Mpasi prend le micro pour parler, sortez de là et partez sans tarder.
Que tous ceux qui me suivent puissent quitter les lieux et ceux qui voudront y rester seront les siens, ceux qu’il a colonisés.
Je rappelle que toute chose a un début et une fin or en toutes choses il faut considérer la fin.
Jésus reviendra et vous le verrez !
C’est alors que vous saurez la VERITE !
Ah ! S’il arrive que vous vous trouviez dans l’autre camp là où il y a des grosses chaînes courtes, ne vous plaignez pas en disant que vous étiez ignorant ! Mais l’on vous répondra : « comment est ce que vous êtes ignorant alors qu’il y avait un Emile donné qui parlait, avertissait… »
Comme l’histoire humaine se répète, aux temps de Jean Baptiste aussi, et pourtant il disait : « repentez vous le royaume des Cieux est proche ! », les gens, connaissant ses parents, ne le prenaient pas au sérieux. Ils ne considéraient pas ses avertissements. Ils disaient : « n’est-il pas l’enfant d’Elisabeth et de Zacharie ? Que peut il nous apprendre »
Négliger les avertissements d’un envoyé de Dieu comme moi Emile fera que beaucoup de gens vont se trouver dans une situation difficile à la fin des temps.
Comme Mpasi tient coûte que coûte me faire du mal, comme il le pense, il ne réussira pas.
J’avais dit dans mes précédentes cassettes que j’ai un certain nombre de confidences avec mon Dieu.
Il m’avait déjà prédit beaucoup de choses dans un courrier spécial que j’ai mis quelque part. De peur que je perde le contenu de son courrier, comme celui-ci commençait à se détériorer, j’avais reproduit tout le contenu dans mon petit calepin qui ne me quitte pas.
Ce calepin me sert de référence, c'est-à-dire que lorsqu’une situation se produit, je le consulte pour savoir si Dieu me l’avait prédit.
En consultant mon calepin, je me rends compte que tout m’a été déjà dit, et que ce que fait Mpasi ne m’étonne guerre car Dieu m’en avait déjà informé dans un courrier. Tout ce qui se passe m’a déjà été prédit.
Dans ce courrier, Dieu m’avait aussi révélé ce qui suit : « Quoique tu sois un être humain sur cette terre, saches que tu n’es pas comme les autres humains qui vivent sur cette même terre ».
Tellement que le contenu de ce courrier revêt un caractère sacré, j’avais enveloppé et enterré mon calepin quelque part. C’est quelque part que se trouvent ces paroles sacrées.
Si je veux m’enquérir, je me lance à sa recherche pour trouver l’endroit précis où je l’ai enterré puis je le déterre. Je le consulte et me rends aussitôt compte que tout m’avait déjà été révélé.
Ce n’était pas important que je vous révèle ces quelques vérités ; si je me dois de vous le dire c’est parce que Mpasi fait tout pour perturber les frères et sœurs qu’il a trouvés dans LOUZOLO, ceux qui sont faibles d’esprit.
Mpasi a colonisé les faibles d’esprit qui ont oublié que nous avons des notes circulaires, des documents renfermant tout l’enseignement que je dispense.
Pour votre information, je vous rappelle que c’est Mpasi lui-même qui les rédigeaient au commencement curieusement, ils oublient tout ce qu’ils ont écrit et veulent nous faire croire que le représentant légal de Dieu est UN TEL car il n’y a personne d’autres que cet UN TEL là.
Alors que cet UN TEL a un titre nominatif c'est-à-dire que c’est un conseil d’hommes qui se réunit et décide de nommer quelqu’un selon leurs critères que j’ignore d’ailleurs. Pour accéder à ce poste de responsabilité, il se pourrait que cet UN TEL suive des cours particuliers ou soit formé par les humains. Or, moi, je ne suis pas formé par un humain, un homme de cette terre, c’est Dieu qui m’a nommé, JE SUIS LE CONTINUATEUR DE LA MISSION SECRETE DE JESUS CHRIST, je suis son PETIT CAPITA et je serai UN ACCUSE REPONDEZ et je précise que je suis le représentant Légal de l’OPH sur terre, c'est-à-dire le représentant légal de Dieu sur terre.
L’OPH c’est JESUS c'est-à-dire Dieu. 
Personne ne le savait même Mpasi ne le savait pas. C’est de ma bouche qu’il a su que Dieu avait un autre nom qu’on appelle OPH.
Demandez lui si dans sa religion d’origine on lui avait révélé ce nom ? Posez lui la question pour le remettre à sa place puisqu’il se permet de vous mentir gratuitement !
Je n’ai pas de problème avec lui au contraire, c’est lui qui en a avec moi. Je ne suis qu’en train de lui remettre à sa place afin qu’il cesse de se comporter ainsi car c’est sa propre perdition qu’il est en train de susciter, la sienne et celle de ses acolytes.
Sur cette terre, tout homme est libre de faire ce qu’il veut mais pas dans mon association LOUZOLO Amour OPH. LOUZOLO est mon association et je ne tolère pas et je ne tolérerai pas que quiconque y sème la division. Cette association porte le nom de Dieu car Dieu est AMOUR par conséquent, il unit les gens et veut que ceux qui le prient soient unis.
Or, si parmi nous il y a quelqu’un qui divise d’où dira t-on qu’il vienne ? Ce ne peut qu’être celui qui n’est pas de Dieu c'est-à-dire du diable. Or satan le diable aime diviser, provoquer des querelles…Celui qui se comporte ainsi n’a pas l’esprit de Dieu mais celui de satan. Cet enseignement, vous le connaissez car je vous l’ai déjà donné.
Satan aime diviser, satan aime provoquer des querelles, des mésententes…L’auteur du mensonge, de la division, du détournement de la parole de Dieu, des confusions etc. est satan le diable.
Puisque notre association est de Dieu, je veille, en tant que Président Fondateur, à ce que cela ne se produise car je suis le SEUL dans le monde le représentant légal de l’OPH sur terre et ce jusqu’aux extrémités de la terre.
Je reçois beaucoup de correspondance des gens qui allaient se renseigner en Europe, en Amérique, en Asie bref partout pour savoir où est la direction de l’OPH. Ils voulaient aussi savoir que veut dire OPH ?
La réponse à leurs attentes est la suivante :
La direction de l’OPH est au Congo Brazzaville et nulle part ailleurs qu’au Congo Brazzaville. Beaucoup de gens me l’ont signalé par courriers, cassettes etc. Lorsque je reçois de telles correspondances, je ris car c’est à l’extérieur du Congo qu’ils apprennent ces vérités.
Que feront ils là bas ! Alors que les personnes chez qui ils vont se renseigner leur disent : « chez nous, nous sommes limités qu’à faire ceci mais, si vous voulez faire cela, ou approfondir vos connaissances, spirituellement parlant, vous devez vous rendre au Congo Brazzaville là où est notre direction, c'est-à-dire la direction de l’OPH.
C’est pourquoi actuellement, ceux qui habitent KIBOSSI voient en permanence les manifestations de Dieu. Dieu fait ses miracles au mont kari kari. Je précise que ce ne sont que des vrais croyants c'est-à-dire ceux qui ont un bon cœur et qui prient sincèrement qui voient ces prodiges. Au moment où je vous parle, il se produit beaucoup de miracles.
Surtout le soir, les gens voient les miracles, les manifestations de Dieu au mont kari kari.
Il y a une vérité que je ne vous ai jamais révélée : « Tous les Patriarches de la Bible ainsi que tous les personnages élus dont nous parle la Bible comme : Abraham, Isaac, Jacob, Moïse etc. ; C'est-à-dire La Grande Famille de Dieu y compris lui-même sont venus construire une Grande Cité ici à KIBOSSI, un petit village situé aux abords du CFCO, au Congo Brazzaville et plus précisément au Mont Kari Kari.
Ce qui veut dire que Dieu a déplacé Tout son Monde, depuis là où ils étaient, jusqu’ici sur terre plus précisément au Mont Kari Kari. Actuellement, ils y sont tous.
Estimez vous heureux vous qui êtes du Congo Brazzaville car toutes les nations, tous les peuples et toutes les langues y afflueront.
Alors, ne soyez pas donc pas perturbés par les paroles mielleuses des enfants de satan ou des serviteur de satan.
Chant : Oh mes frères et sœurs, faisons très attention le moment précédemment annoncé le moment est plus qu’arrivé.
Cette chanson, je vous l’ai déjà apprise et Mpasi la connaît. Mais, curieusement, il feigne de l’oublier parce qu’il est mécontent.
En réalité, la vraie cause de son mécontentement est ailleurs, c’est le fait qu’il n’a plus la main mise sur les finances de l’association, lui et son monde.
La raison qui m’a poussé a remanié cette grande structure de gestion est la suivante : Comme je n’avais plus les états de finances, j’ignorais complètement comment étaient gérés les sous de l’association. C’est pourquoi après le remaniement, comme Mpasi et ses acolytes ne pouvait plus géré l’argent comme dans le passé alors commencèrent leur mécontentement.
Ils se plaignent tout simplement parce qu’avant ils géraient les sous et que maintenant, ils ne les gèrent plus.
Si je n’avais pas remanié, peut être qu’ils n’allaient pas non plus créer toutes ses situations.
Puisque Mpasi n’a plus de moyen pour détourner les sous de l’association, il crée beaucoup de manigances.
En agissant ainsi, il est en train de se mentir lui-même.
Je n’ai aucun contentieux avec lui alors, soit il cesse ou soit il démissionne tout simplement !
Qu’il aille ailleurs s’il veut créer toutes sortes de rébellion. Qu’il crée son association pour qu’il ait la main mise sur les finances.
Le remaniement opéré, consistait à transférer tout le compte de l’association à Pointe Noire avec un mot d’ordre suivant : Qu’aucune information relative à ce compte ne soit livrée. Vous serrez certainement surpris d’apprendre que même moi, je ne connais pas le montant, je ne sais pas combien avons-nous exactement dans la caisse de l’association, moi qui suis le président fondateur. J’avais changé cette situation de finance parce que c’est inacceptable.
J’avais donc transféré tout le compte à Pointe Noire.
Mais pourquoi Brazzaville, c'est-à-dire le Comité Directeur, le BCI…veulent savoir le montant ? Pourquoi demandent ils les informations sur ce compte ? Pourquoi ?
L’argent des membres n’est pas le leur ! La triste réalité est que ces gros chefs là ne cotisent jamais et ne pensent qu’à détourner les sous. Faites vous-mêmes des enquêtes et vous vous rendrez compte que leurs cartes de cotisations statutaires ne sont pas à jour ! Ils ne cotisent jamais et veulent toujours se servir, détourner l’argent de l’association pour me salir.
Ils détournent silencieusement et malignement  les sous de l’association pour faire croire aux gens que c’est moi qui le fait. Ils disent que si les caisses sont vides et bien c’est le président fondateur qui se sert. En outre, ils disent que si l’association n’avance pas, c’est parce que c’est moi qui retarde son évolution.
D’après eux, si depuis 15 à 20 ans ça ne marche pas, c’est à cause de moi ! Alors que je ne savais pas comment ces gens là géraient l’argent et je n’avais pas non plus la parole.
Comme la situation financière était devenue incontrôlable, j’avais donc ordonné au frère TCHINONA MAKOSSO Christophe de gérer cet argent à Pointe Noire.
A ce jour, j’ignore combien l’association a dans ses comptes.
Si moi-même je ne le sais pas alors pourquoi eux, veulent savoir ? Mais pourquoi alors ? Sont ils aussi des coprésidents fondateurs ?
Ces hommes là ne versent même pas un sou, ces mêmes hommes qui vous mentent ! Je doute même qu’ils cotisent et je vous demande de vérifier mes dires.
Vérifier leurs cartes de cotisations au lieu de les écouter.
En ce qui concerne les cartes statutaires, je vous rappelle qu’elles doivent être à jour, toujours à jour ! Les cartes de cotisations statutaires à jour constitue une vraie quittance sans laquelle l’accès aux cieux est difficile voire impossible.
Pour vous démontrer ce que je viens de dire, je vais vous raconter le témoignage d’une des personnes qui sont menacées au ciel, je dis bien menacées parce qu’elles n’étaient pas à jour en ce qui concerne leurs cotisations : « Cette personne concernée est l’enfant de Monsieur MOYO résidant à BACONGO un des quartiers Sud de Brazzaville.
Avant de vous rappeler ce témoignage que vous connaissez déjà, j’aimerais m’excuser auprès des parents de cet enfant et auprès de Papa YOULOU Antoine et Maman YOULOU Jacqueline née DIATOULOU SAMBA Jacqueline (la première femme de Papa YOULOU Antoine).
Pour commencer, cet enfant était avant à LOUZOLO, c’est la famille YOULOU qui l’avait sensibilisé et amené à LOUZOLO puis, plus tard son père le dissuada d’y rester et ils allèrent quelque part. Un jour, il est mort à Bakongo et était arrivé à la porte du Ciel. Le témoignage que je vais raconter est connu par Papa et Maman YOULOU. Arrivé au ciel, cet enfant a vu des gens habillés en tenue LOUZOLO passer, ils marchaient dans la joie et se dirigeaient vers le lieu de la veillée. Vérifier ce que je vous dis auprès de Papa YOULOU Antoine et de Maman YOULOU Jacqueline qui est le premier membre « femme » de LOUZOLO.
En voyant les gens de LOUZOLO passer, il a voulu se joindre à eux mais, on le lui empêcha. Comme il ne trouvait pas d’accès pour se joindre aux autres, il était dans une situation difficile. Comme il était bloqué, il venait apparaître dans les rêves d’un certain nombre de personnes pour leur demander de dire à LOUZOLO d’organiser un DAMBAGE pour lui. Comme son père savait que les gens de LOUZOLO boivent beaucoup de bières, il ne voulait pas organisé un DAMBAGE qui pour lui est très coûteux car il faut faire boire une multitude de gens.
Se trouvant toujours bloqué, l’enfant résolu de venir s’adresser à Maman Jacqueline dans la nuit. Dans son rêve, il lui inspira la chanson suivante (en KONGO) : MONO NZOLELE YA LANDA KWANI TATA EMILE, KI LENDI SOTOKA KO qui veut dire : Moi, je veux suivre Papa Emile sans faille, je veux le suivre là où il est et je ne sera pas perdu pas.
Maman YOULOU chantait cette chanson dans son rêve et ce, dans la nuit pendant longtemps. Papa YOULOU, réveillé par ce chant, avait placé un magnétophone pour enregistrer ce chant. Renseignez vous auprès de la famille YOULOU pour savoir si je mens.
Ce témoignage a été rendu public à la permanence de MOUKONDO malheureusement, les gens de LOUZOLO ont une mémoire très courte, ils oublient vite les bonnes choses ; Ils ne gardent que des mauvaises choses et non les les bonnes.
Longtemps après, Papa YOULOU et Maman YOULOU étaient venus me voir pour m’expliquer ce rêve, ils m’ont montrer le chant et je suis vite intervenu pour y porter une correction. La correction consistait à remplacer le nom d’Emile, mon nom, par celui de Notre Seigneur Jésus Christ afin d’éviter toute mauvaise interprétation.
Dès que Papa YOULOU avait pris l’initiative d’organiser un DAMBAGE à MOUKONDO comme demandé, cet enfant avait pu se libérer, trouver l’accès. A ce DAMBAGE, ce témoignage a été rendu public devant de nombreuses personnes présentes.
Avant de continuer, j’aimerai ouvrir une parenthèse : Si je n’étais pas UN BATELE ET LES BASIDI, cet enfant qui était mort n’allait pas se manifester dans le rêve de Maman Jacqueline n’est ce pas ? Voici ce que disait cet enfant : « J’ai vu les gens de LOUZOLO passer et voulant m’associer à eux, on m’interdit. Malgré mes complaintes, et malgré le fait que je leur disais que moi aussi fait partie de LOUZOLO, on m’ordonna de rester là où j’étais car ils me demandaient ma tenue de LOUZOLO en me disant : Soit disant que tu es à LOUZOLO, où est donc ta tenue ? ». Voyez vous frères et sœurs, on lui empêcha de se mélanger avec les gens de LOUZOLO qui s’y trouvent (au Ciel), ceux qui marchaient dans la joie se dirigeant vers le lieu de la veillée.
Il est resté là où il était jusqu’au jour où Maman Jacqueline et Papa YOULOU Antoine prirent l’initiative d’organiser un DAMBAGE à son honneur à MOUKONDO au 02 rue DELAMART  à l’époque c’était 1 rue DELAMART. C’est au cours de ce DAMBAGE que cet enfant donna plusieurs messages bibliques par inspirations aux frères et sœurs présents à ce DAMBAGE. J’avais bien suivi tout cela par la cassette qui m’a été envoyée.
Dans ces messages, cet enfant confirma ce qui suit : « Ca y est ! J’ai pu avoir l’accès, Ca y est je suis maintenant autorisé à me joindre aux membres de LOUZOLO d’ici ! Je suis très content et je vous remercie ». Renseignez vous auprès de la famille YOULOU et auprès de tout ceux qui étaient à ce DAMBAGE, ils connaissent bien cette histoire.
C’est vraiment dommage de constater que les gens de LOUZOLO ne retiennent que des mauvaises choses.
Voilà mes ami(e)s, les gros chefs, les ami(e)s d’Emile, les frères et sœurs de l’association LOUZOLO amour OPH, mes très, très, très chers aimés et respectés ce que j’avais à vous dire aujourd’hui.
Excusez moi, j’ai vraiment ri lors MPasi s’exprimant dans une cassette a dit qu’il ne me demandera pardon que parce que je suis le président fondateur sinon, il ne pouvait pas le faire ! Alors que la bible nous dit : si vous savez que vous avez un litige avec votre prochain, allez y d’abord lui demander pardon.
Ce pardon, il me l’avait demandé devant les gens qui étaient là, qui l’avaient écouté et pris acte.
Comme si son précieux pardon ne suffisait pas, il est revenu une autre fois pour créer d’autres problèmes comme : Emile n’est pas le représentant légal de l’OPH mais UN TEL. Ah quel mensonge.
Chant en kikongo : BA KE TUBA BETO KUTANAKA NA EMILE ECOLE MOSI NA KU LUTA MAITRE, O LUVUNU EMILE N’A JAMAIS ETE DANS UNE MAISON MYSTIQUE qui veut dire ceci : Ils affirment qu’ils étaient sur le même banc d’école avec Emile pour devenir des Maîtres, O quel mensonge, Emile n’a jamais été dans une maison mystique.
Constatez vous-même ce gros mensonge !
Je n’ai pas de problèmes avec mon prochain mais si je parle, c’est parce que j’ai une lourde responsabilité, de conduire le Peuple de Dieu par la mission secrète que Jésus lui-même m’avait confiée.
C’est Jésus lui-même qui canalise, oriente et dirige tout dans l’ASLA OPH. En tant que son représentant, je dois être vigilant et ne pas permettre que le travail de mon Père soit perturbé par n’importe qui.
Voilà pourquoi il est temps à MPasi de repartir dans sa religion d’origine, soit de créer sa propre association mais, qu’il cesse de perturber LOUZOLO ! Non je ne le tolérerai pas !
Tout ce qu’ils fomentent, si c’est pour chercher ma mort, je vous le jure, si vraiment ils pensent à me tuer, ils ne resteront non plus en vie sur cette terre.
Dieu s’arrangera à les prendre un à un, à les enchaîner en attendant le dernier jugement. Il est grand temps qu’ils se repentent en laissant leurs mauvaises pratiques mais s’ils persistent, Ah Dieu est là. Je m’arrête là pour vous proposer quelques chants.
Je reprécise que je n’ai pas de problèmes avec les gens. La Bible nous recommande de reconnaître notre faute, de demander pardon puis de cesser de revenir sur la même faute ! Ceux qui persistent dans cette voie perverse finiront par rencontrer Dieu lui-même sur leur chemin. Car Dieu voit tout et sait tout il est le vrai JUGE.
Dans mes prières je ne cesse de demander que Dieu leur pardonne, que Dieu pardonne à tous ceux qui agissent de la sorte, en tout cas que Dieu leur pardonne. Sinon, pour tout ce qu’ils me font…Ah pitié.
Je demande toujours à Dieu de pardonner tous mes ennemis visibles et invisibles car c’est regrettable et pitoyable pour les croyants qui lisent la Bible. C’est malsain d’agir de la sorte !
Bon Dieu, si vous êtes égarés, mais ressaisissez vous et repentez vous c’est ce que Dieu nous recommande. La Parole sacrée de Dieu nous dit : « Repentez vous car le Royaume des Cieux est proche » au lieu de divaguer, empressez vous à le faire !
Maman NKELA, vous qui m’écoutez, écrivez toute cette histoire, celle que je raconte maintenant même si les gens vous menacent en vous disant que Dieu a déjà ses rachetés et que vous, vous ne l’êtes pas ! Car d’après eux le nombre de rachetés de Dieu est limité et que vous serez des rachetés d’Emile ou selon Emile ! Que cela ne vous bouleverse point! Il y a un Dieu vivant qui règle tout, Dieu veille et ce Dieu là que nous prions vit.
N’oubliez pas que si les gens nous maltraitent, c’est parce que Jésus a été maltraité avant nous. Il disait lui-même que : « Si vous êtes persécutés, sachez que je l’ai été avant vous ».
Puisque notre mission est de Dieu lui-même, et bien, à lui la vengeance !
Je m’arrête là merci.
Je reviens pour vous dire que tout ceci doit être écrit, dites à tous ceux qui savent écrire d’écrire.
Que Papa MELONTON à qui j’ai donné cette responsabilité cherche des gens compétents pour traduire en langues étrangères tous les documents de l’ASLA et de les déposer chez un éditeur.
Attention la discrétion oblige qu’il ne faut pas en parler à n’importe qui car vous-mêmes connaissez comment sont les gens de LOUZOLO. Ils sont tellement jaloux que l’association avance, ils ne veulent pas que l’association soit connue dans le monde entier.
Si vous constatez que parmi vous il y a des indécis, des agents doubles c'est-à-dire des gens qui ont « DEUX PIEDS » un pied chez Emile et un pied chez Mpasi, faites attention à vous !
Faites ce travail avec les rachetés d’Emile, éditez beaucoup de livres et ne dites rien aux gens car parmi eux il y en a qui ne sont pas discrets, ils passent de maison à maison pour en parler, pour raconter.
Editez tout cela Maman MAHOUNGOU NKELA Caroline, de même, il faut que tout ce que je suis en train de dire dans ce message y figure ! Qu’aucune virgule ne manque.
Evidemment, je souhaitais vous proposer un chant mais, je me rends compte qu’il ne me reste plus assez de bande.
Maman Vice présidente, veuillez à ce que toutes mes cassettes soient copiées en plusieurs exemplaires et dispatchées partout où il y a les structures de LOUZOLO OPH.
Envoyez les partout, en France, partout, partout ! Il faut que les gens sachent ce que les faussaires, les troubles fêtes, les perturbateurs font.
Ces gens veulent toujours faire reculer les faibles d’esprit. Ils veulent coloniser les faibles afin de les manipuler à leur guise.
Ce n’est pas à LOUZOLO qu’on doit faire ce genre de choses, jamais à LOUZOLO et ceci, tant que je serai en vie, même si je ne suis plus dans ce bas monde, je veillerai dans mon LOUZOLO, car je suis et reste le Président fondateur, PETIT CAPITA de l’Eternel Dieu. Même si les gens me font du mal aujourd’hui en cherchant ma mort, ils croiront que je suis mort, je suis parti définitivement et c’en est fini ! NON !
Dieu s’arrangera à ce que je revienne visiter mes gens pour continuer mon travail, ma mission, celle qu’il m’a confié ! C’est ce que les gens ignorent.
Ils croiront me tuer mais, ils oublient que c’est seulement ce corps de péché qu’ils vont supprimer, mais je continuerai de vivre et Dieu me donnera un autre corps et je reviendrai car je n’ai pas encore commencé sa mission proprement dite quoique je suis avancé en âge ; Cette mission je ne l’ai pas encore débutée et je dois le faire.
Personne ne m’empêchera de le faire, personne ne freinera ma mission.
Même s’ils me tuent aujourd’hui, ils perdent leur temps car ils me suivront un à un dans 3 ou 4 jours suivants ma mort. On les prendra pour les enchaîner et les réserver jusqu’au dernier jour du jugement.
Je ne souhaite pas leur mort mais je veux vous dire que s’ils me font du mal en cherchant ma mort, en me tuant, Ah vous verrez ce qui se passera ! Tous ceux qui seront concernés, partiront un à un. Ils payeront avant que n’arrive le dernier jugement. Puisqu’il y a un Dieu VIVANT, il s’en occupera valablement.
DIEU SAIT TOUT ET JE SAIS CE QUE JE DIS ET JE NE MENS JAMAIS.
JE FAIS CE QUE JE DIS ET JE SUIS SUR DE CE QUE JE FAIS.
Ceux qui ne veulent pas reculer, ceux qui ne veulent pas se repentir en reconnaissant leurs fautes et s’ils insistent à me faire du tort, à me tuer, cela ne fait rien.
Mais, ils ne resteront pas en vie et vous les verrez mourir au fil des jours. Tous ceux qui seraient concernés par ma mort ! Je dis bien tous quelque soit ce qu’ils sont, ils payeront car il y a un Dieu qui règle tout !
On les prendra puis on les enchaînera quelque part en attendant le dernier jugement. Ce sera très dommage pour eux, vraiment dommage pour eux.
Et, au dernier jour, je serai là, je serai là puisque je suis un petit capita, cette vérité vous devez la connaître.
Sachez que je suis un petit capita et je dois rendre compte à Dieu qui m’a confiée la mission.
Que les gens arrêtent de blaguer comme çà !   
Qu’ils blaguent avec leurs femmes mais pas avec moi Emile, Alors ! Zut ! Je suis une personne comme toute autre non ! Je n’ai pas le droit de vivre librement et de respirer un tant soit peu ! N’ai-je pas le droit de m’exprimer alors que l’association est mienne ? J’en suis le président fondateur ? Pourquoi n’aurais je aucun droit ?
Je ne voudrais plus entendre ces manipulations !
Je ne veux plus entendre les on-dit NON !
Libre à eux de quitter mon association LOUZOLO amour OPH et libre à eux aussi de rester à LOUZOLO ou de la quitter. S’ils veulent y rester alors, qu’ils changent de comportements et leurs dires.
Sensibiliser contrairement à ce que je dis est ce que je n’accepterai pas de mon vivant, même s’ils me tuent, qu’ils sachent que eux aussi ne resteront pas en vie.
Il faut vous que vous le sachiez et retenez ce que je dis dans ce message.
Dieu sait tout et connaît d’avance tous ceux qui seront dans ce lot, c'est-à-dire tous ceux qui seront concernés, Dieu les connaît déjà.
Qu’ils se ressaisissent car pendant qu’ils sont encore sur cette terre, ils ont la possibilité de demander pardon car ce n’est que sur cette terre de péché qu’il y a le pardon des péchés. S’ils reconnaissent leurs fautes, le mal fait et se repentent sincèrement et se ressaisissent, ils sont pardonnables. Le pardon des péchés n’existe que pendant qu’on est sur cette terre.
Etant arrivé à la fin de la cassette, je vais quand même chantez un peu, veuillez écouter le chant que je vais vous proposer :
REF : TARA NZAMBE, TARA NZAMBE E BANI BA
1° A TARA NZAMBE A ME, TARA NZAMBE a Guy Emile MU MPARI 2X
2° A TARA NZAMBE A ME , TARA NZAMBE A Guy Emile MU PARI
A NZAMBE A ME YA KUNI TARA Guy Emile MU PARI

 
Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.
 

 

5) Son attentat

-Message aux chefs du village de KIBOSSI

MESSAGE DU GM ADRESSE AUX CHEFS DU VILLAGE DE KIBOSSI

 

A mes très chères Mamans et à mes très chers Papas,
A mes très chères Mamans et à mes très chers Papas,
A mes très chères Mamans et à mes très chers Papas,
Habitants de KIBOSSI,
Recevez mes vives salutations,
Recevez mes nombreuses salutations,
Recevez mes salutations les meilleures !
A mes autorités locales,
A mes chefs locaux,
Aux responsables locaux,
Ceux de KIBOSSI et des villages environnants, partant de MAYONGONGO, de KIBOUENDE, de l’autre coté du DJOUE, de NTOUNOU, de MAKAKA jusqu’aux autres contrées que je n’ai pas citées.
Je salue tous mes chefs, tous mes papas et toutes mamans, tous mes frères et toutes mes sœurs, tous mes amis, tous mes enfants.
Recevez mes vives salutations,
Recevez mes salutations fraternelles,
Recevez mes salutations les meilleures !
Que Dieu du Ciel qui nous a tous crée soit avec vous ! Qu’il vous bénisse, qu’il vous garde et vous donne bonne santé et longévité.
Je suis votre enfant, votre frère et ami, votre père, nommé LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile qui habite à KIBOSSI et qui est actuellement entre MALENGO et MBAMOU là où il y le séminaire, c’est vers ces <<hauteurs>> que je demeure. Je crois que vous savez pourquoi j’y habite maintenant ! J’y suis parce que mon neveu nommé PASSI MOUNZEMBELLE André ainsi que sa maman nommée  NDEBANI Angélique et ses oncles TA TSIOLA Léon que vous connaissez et TA KEBIA Jean et leurs neveux, s’étaient entendus pour me tuer pour le motif  suivant:
Selon eux, et la version qu’ils ont donné aux militaires chargés de me tuer, je suis un SORCIER et que c’est moi qui ai sacrifié tout le village.
C’est pour cette raison que je n’ai plus de paix dans le village. Je crois que les habitants de KIBOSSI et ceux qui sont aux environs, ont entendu les crépitements des armes automatiques le 5 février 2002, je précise bien, des armes de guerres ! C’est sur mon corps qu’ils tiraient. Ils ont commencé à tirer sur moi de 3h du matin jusqu’à 5h du matin. Ils disaient, si vraiment tu es là, sors ! Nous ne t’accordons que <<tant>> de minutes. Je répondais en leur demandant le sort qu’allait connaître ma femme puisque j’étais avec elle et en leur disant, comment est ce que nous pouvons sortir de là où nous étions en une  minute car tout est détruit, les portes etc.
Ma femme s’était trouvée là par hasard, moi je revenais de loin, comme je n’avais plus de piles et de cassettes audio qui me permettent de faire mon travail, le travail que Dieu m’a donné, je suis parti de l’endroit où j’étais pour me rendre chez moi, à ma modeste maison que j’ai construite, le lieu où je stocke mon matériel de travail. Je suis arrivé à destination au alentour de 19h. J’ai ouvert la porte de ma modeste maison constituée de tôles du bas en haut, une toute petite maison en tôles, après que j’ai pris ce que j’étais venu chercher, j’ai entendu ma femme dire : Mais qui a ouvert cette porte ? Je lui ai répondu : C’est moi qui suis là, je suis venu pour prendre les piles. En fait elle se trouvait là parce qu’elle avait un colis venant de Brazzaville à déposer à cet endroit. En arrivant, elle était étonnée de voir la porte de la maison ouverte. Comme nous discutions un peu, le temps passait et il était 20h. Je lui disais que lorsque j’étais sur la route carrossable qui part de la gare à la forêt que vous connaissez, j’ai entendu les gens dire en LINGALA :<<C’est ici >> Et les autres ont répondu <<oui c’est ici>>. Comme je savais que c’est moi qu’ils venaient chercher, j’ai ajouté ceci à ma femme :<<Mes ennemis sont arrivés ici et ils cherchent à me tuer>>. Ma femme ne me croyait pas car elle était persuadée que ce n’étaient pas mes ennemis mais les gens qui viennent à KIBOSSI pour travailler dans les champs. Elle argumentait que c’est certainement ces gens dont la majorité est constituée d’hommes, rentrant des champs et étant entrain de discuter entre eux d’un autre sujet, puisqu’ils se dirigeaient vers la gare, leurs conversations n’avaient donc pas de rapport avec ce que je lui disais. Je lui ai dit : NON, en lui signifiant à nouveau que j’étais sûr que c’étaient mes ennemis. Nous discutions encore chacun défendant sa thèse, elle me disait, puisque tu sais que ce sont tes ennemis, pourquoi ne t’échappes tu pas ? Je lui répondais par la négation, en lui stipulant que :<<Il y a fort longtemps qu’ils me cherchent, qu’ils cherchent à me supprimer, maintenant qu’ils sont proches, qu’ils viennent je les attends, je ne m’échapperai pas je resterai ici, qu’ils viennent me tuer>> puisqu’ils me cherchent depuis longtemps maintenant que l’occasion se présente, qu’ils fassent ce qu’ils ont projeté de faire. Je lui ai encore dit que je n’irai nulle part je resterai là pour qu’ils viennent me tuer ! Elle me dira : Comme ils sont encore dans la rue, va-t-en…Je lui ai dit :<< je n’irai nulle part, je resterai ici pour qu’ils viennent me tuer>>. Elle finira par me dire : puisque tu restes, moi aussi, je ne vais pas te laisser seul, qu’ils nous tuent tous les deux, je ne retournerai pas.
Nous attendions tous les deux, moi, j’étais très attentif tendant mes oreilles vers la porte pour détecter les moindres mouvements jusqu’à ce qu’ils avaient encerclé la maison, c’étaient des militaires accompagnés d’une milice appelée les NINJAS.
Selon ce que j’avais entendu dire de la part de ces militaires c’est qu’ils étaient nombreux y compris les NINJAS : <<c’est ton neveu qui nous a envoyé ; Ici à KIBOSSI il y a beaucoup de petites forêts dans lesquelles nous avons été placés jusqu’à ton village natal MAKAKA. Tu ne peux plus te sauver car nous avons investi toutes les forêts pour te chercher, l’ordre nous a été donné de te tuer à la première vue>>, c’est ce qu’ils m’avaient dit au matin, quand ils avaient arrêté de tirer sur moi.
C’est à 8h du soir qu’ils s’étaient mis à se repartir autour de la maison où j’étais, située à YALA NSANGAMANI KIBOSSI Gare CFCO. Ils attendaient qu’ils fassent vraiment nuit et à 3h du matin, je dis bien 3h du matin, comme ma maison leur avait déjà été montrée par mon neveu MPASSI MOUNZEMBELE, sa mère et les autres qui étaient avec eux, les hommes armés savaient où était leur objectif. Au matin surpris que je ne sois pas mort, j’ai vu ceux qui faisaient partie de ma famille venir en l’occurrence MPASSI MOUNZEMBELLE, pour me dire qu’ils venaient pour me demander pardon. Je lui avais dit ceci : Mais pour quelle raison viens tu me demander pardon ? Pourquoi me demandes tu Pardon ? Curieusement, NDEBANI Angélique qui était ma belle sœur, les autres dont Jean tombaient par terre en pleurant et disaient : Nous étions entrain de te chercher. Leurs larmes coulaient à flot c’est comme ci ils étaient surpris de ce qui m’était arrivés.
Je qualifie ces larmes comme celles de sorciers ! Ils criaient : Ah notre grand frère….J’étais resté perplexe et je les regardais faire leur cinéma.
Après tout cela, je leur avais dit ceci : Si c’est vrai, fondé et justifié ce que vous êtes entrain de faire que Dieu rende justice mais si c’est de la supercherie, du cinéma… Vous le payerez cher ! Après avoir discuté avec leurs militaires, ils sont partis.
Le 05 février, quand on m’avait envoyé les militaires pour me tuer, MPASSI MOUNZEBELLE en faisait partie aussi (il conduisait les troupes). Je ne mens pas, je l’avais vu de mes propres yeux avant l’aurore.
Ce 05 février 2002, ils étaient arrivés à 8h du soir et attendaient. Ce n’est qu’à 3h du matin qu’ils ont ouvert le feu. Ils étaient très proches de la maison, une petite maison en tôle sans résistance et sans importance, voyez-vous ! Imaginez ce qui se passait ! Une petite maison constituée de tôle du bas en haut ! Ils tiraient sur cette maison, les cartouches traversaient de partout <<tro, tro, tro, tro, tro…>> Et j’implorais Dieu en disant ceci : Mon Dieu ! Je n’ai rien fait, je n’ai jamais volé mon prochain, je ne mens jamais si je suis menteur, que je meurs ! Si je ne fais pas correctement le travail que tu m’as confié et qu’il n’y ait pas de bénéfices de tout genre au niveau de l’humanité souffrante, fais justice ! Que je meurs ! Pendant ce temps ils tiraient avec tout genre d’armes de guerre, c’était une véritable guerre <<tro, tro, tro, tro…>>. Ils ont tiré sur moi de 3h du matin jusqu’à 5H.
A 5h du matin, ils ont arrêtés le feu et disaient :<< Si tu es toujours là sort immédiatement sinon nous allons jeter une grenade pour en finir>>. Ma femme leur répondait :<< ne jetez pas votre grenade sur nous, nous allons sortir>>. Ils nous avaient donné une minute pour sortir. Et elle dira: accordez nous au moins un peu plus de temps, une minute ne nous suffit pas pour sortir. Ma femme me précédait, arrivée au niveau de la porte. Comme ils étaient juste au seuil, voyant un militaire pointé son arme sur ma femme pour la tuer, j’avais bousculé ma femme pour la faire tomber, c’est juste au moment où elle était tombée que le coup de feu était parti droit sur moi. La balle m’a atteint, j’étais sérieusement blessé. Si je n’avais pas fait tomber ma femme, elle serait morte. Il fallait que je trouve une solution pour lui éviter de mourir.
Lorsque la balle avait pénétrée mon corps, ne savant pas que mon sang giclait tellement (ce n’est que plus tard après que je réalisa que mon sang avait beaucoup coulé),  je leur disais : Mais pourquoi voulez vous me tuer ? Pour quelle raison voulez vous me supprimer ? Je ne fais pas de politique, je ne fais que prier, Dieu m’avait confié une mission que j’accomplis tous les jours de ma vie sur terre. J’ai un grand travail à faire sur l’humanité toute entière ! Car tous les hommes de tous les continents seront sauvés grâce à cette mission.
C’est pourquoi, quand Jésus reviendra, il me demandera des comptes sur la gestion du travail qu’il m’a confié sur toutes les âmes ! Que ce soit ceux qui sont à LOUZOLO ou non ! Qu’ils soient Catholiques, Protestants, Salutistes bref ! Toutes les religions qui existent sur cette terre ainsi que les non-croyants ou les païens au dernier jour quand Jésus reviendra pour juger le monde, c’est à moi qu’il questionnera au sujet de toutes ces âmes, je serai << l’accusé répondez>>, autrement dit je répondrai devant lui. Je suis le petit CAPITA de l’Eternel Dieu, depuis le ventre de ma mère, Jésus lui-même m’avait confiée sa mission qu’il avait commencée ici sur terre et qui n’était pas finie.
En effet, selon les dires de ma mère de son vivant, MAMA MAZONZEKA Julienne originaire de TIATABONDA aux frères et sœurs de Pointe Noire et de Brazzaville qui venaient la voir, Je suis né sans PLACENTA, Emile que vous voyez était né sans placenta ! Ceux qui avaient entendu ces révélations, les avaient enregistrées et réservées pour la postérité. En ce qui me concerne, je n’étais pas au courant de ces révélations, ce sont les frères et sœurs qui venaient me voir et qui les avaient écrit, à savoir ceux de la chorale de Brazzaville et de Pointe Noire, qui m’en avaient informé.
En grandissant, à l’âge de 3ans et plus tard…je ne veux pas m’étendre sur les explications car vous les connaissez déjà puisque vous les donner, que ceux qui veulent vous écouter, vous écoute.
Je poursuivais ma plaidoirie avec les militaires en disant ceci : Pourquoi êtes vous venu me tuer ? Je ne fais pas de politique ! Mais quel est le motif ?
Ils me répondaient en ces termes :
Si nous sommes arrivés jusqu’ici pour te tuer, c’est parce que ton neveu PASSI MOUNZEBELLE André et sa mère NDEBANI Angélique, tes neveux et tes grands frères NTSIOLA LEON et KEBIA Jean s’étaient entretenus, et nous ont confié la mission de te t’assassiner pour le motif suivant : Ils nous ont avancé que tu es un grand sorcier et que tu as entamé toute la famille (tu as sacrifié toute la famille en les mangeant). Ils s’étaient dits, puisqu’il y a la guerre dans le pays, et que les armes circulent, profitons de le tuer pour que l’on dise qu’il est mort pendant la guerre. C’est la raison pour laquelle nous sommes venus te tuer, parce que tu es un sorcier.
Je leur répondais ceci :
Mais soit disant que je suis sorcier, donnez moi une preuve que j’ai mangé quelqu’un !
Ils rétorquaient :
Que tu manges les gens ou pas, ce n’est pas notre histoire, ce qui nous intéresse c’est l’exécution de l’ordre et de la mission qui nous a été confiée pour vous supprimer tous les deux (toi et ta femme).
Je prenais encore la parole pour leur dire ceci :
Vous voulez exécuter quelqu’un sans chef d’accusation ?
Ils me répondaient que ce n’est pas notre affaire puisque nous avons été envoyé par ta famille. Je leur posais la question de savoir s’ils avaient eux aussi de la famille, vous connaissez ce qui peut se passer dans une famille, sans réfléchir, parce que vous avez été soudoyés, vous avez accepté que l’on vous mente pour tuer gratuitement quelqu’un sur qui vous n’avez fait aucune enquête !
Ils me diront par la suite qu’ils n’étaient pas seuls, mais toute une garnison était éparpillée. Ils vont m’avancer d’autres choses encore. Nous avions discuté longtemps, longtemps, longtemps, c’était houleux ! Moi je parlais, eux me répondaient et vis versa.     
Par ailleurs, au moment où nous discutions, les enfants qui habitaient avec ma femme à quelques centaines de mètres plus bas, en entendant le bruit accouraient vers l’endroit où nous étions. E me voyant, ils pleuraient en poussant des cris :<<Notre père, notre père>>. Un enfant parmi eux dont une fille, leur disait, pourquoi vous voulez vous tuer notre père ? Pourquoi faites vous cela ? Un militaire, exacerbé de voir cette petite fille se plaindre au sujet de moi, la frappa avec son arme et lui donna plusieurs coups de pieds. Il continua à la frapper, marchant sur elle sans pitié quoiqu’elle souffrait, pleurait et disait : ayez pitié ! Pitié ! La situation devenait de plus en plus compliquée, Je leur répétais que moi Emile, n’avait jamais fait du mal à autrui, je ne fais jamais de politique ; Ce que les MPASSI vous ont dit ne sont que des allégations mensongères. Je ne me reconnais pas dans ces accusations. Ils me répondront, si tu ne te reconnais dans ces accusations, pourquoi te caches tu dans les forêts, pourquoi n’habites tu pas comme les autres dans le village ?
Sur cette question voilà ma réponse :
Tous les habitants du village savent que l’Eternel Dieu m’a donnée une loi, une recommandation depuis 1988 de m’éloigner des humains pour son service. Je dois dorénavant rester seul pour bien accomplir les missions qu’il m’a confiées. C’est une LOI dictée par l’Eternel Dieu lui-même !  Si je n’avais pas obéi à cette loi, l’Eternel Dieu n’allait pas descendre pour construire KARI-KARI. Effectivement, c’est au mont KARI-KARI que l’Eternel Dieu que nous prions, le Dieu que nos ancêtres et toutes les religions nous enseignent,  que ce soit les Catholiques, les Protestants, les Salutistes bref ! Tous ceux qui prient Dieu, Ce Dieu là, l’unique, est venu construire une belle cité Sainte à KARI-KARI. C’est grâce à mon obéissance à cette Loi que tout cela s’est réalisé, j’habite bien ici à KIBOSSI gare, c’est parce que j’y habite que Dieu a choisi cette localité pour y demeurer Eternellement. Il y demeurera Eternellement avec toute sa famille céleste que vous connaissez, celle dont la Bible parle comme les pères : ABRAHAM, MOISE, NOE, JACOB, ISAAC, ELIE, HENOCH et autres, actuellement, ils sont tous là bas. Papa Elie était monté au Ciel avec son corps (il ne connut point la mort). Dieu y habite avec tous ses anges c'est-à-dire il est à KARI-KARI avec tout son gouvernement qu’il a lui-même crée, toutes ses créatures y sont, y compris lui-même Dieu, son fils Jésus et l’Esprit saint, puisque les trois forment qu’un seul Dieu.
C’est à KARI-KARI qu’il est venu construire cette belle demeure, vous connaissez tous KARI-KARI, c’est une montagne où habitaient les dieux de kari-kari (kari kari était au départ un lieu satanique mais Dieu l’a purifié). Il a choisi ce lieu et est venu construire sa cité le 20 mai 1992. Il y est arrivé à 8h du soir et s’est mis à tourner, tourner, tourner autours de toute la montagne de KARI-KARI balayant tous les coins et les recoins et s’est posé à 3H du matin. J’ai vu une Grande Lumière et je me posais la question de savoir si c’était la fin du monde or j’avais oublié que Dieu m’avait au préalable envoyé un ange les mois passés ou les jours passés…je ne me rappelle plus !
Cet ange m’avait été envoyé pour me livrer ce message :
Dans peu de temps, Dieu viendra réaliser tout son mystérieux projet comme il te l’avait déjà signifié. L’Eternel Dieu m’avait dit beaucoup de choses depuis mon enfance que je ne peux pas détailler manque de temps car il faudrait beaucoup de cassettes…C’est ce que je révélais aux militaires et nous discutions.
Finalement, ils me diront :
Puisque nous avons beau tiré sur toi toute la nuit et que tu n’es pas mort, alors donne nous de l’argent ! Sache le bien ! Tu ne peux pas t’en sortir car ton neveu MPASSI MOUNZEBELLE André ainsi que sa mère NDEBANI Angélique, tous tes neveux, tes frères et sœurs, et tous tes amis ont pris la décision de te supprimer ; c’est pourquoi, étant nombreux, y compris les NINJAS, nous nous sommes postés dans toutes les forêts pour t’exécuter comme cela nous a été recommandé. Ils ajouteront que c’est bien ton neveu MPASSI MOUNZEBELLE André qui nous a soudoyé pour accomplir cette mission, il ne sera tranquille, lui et toute ta famille que lorsque nous aurons accompli notre mission de te liquider puisque tu ne cesse de <<manger>> les membres de ta famille !
Après qu’ils avaient fini de parler, je prenais la parole en leur disant :
J’ai bien pris acte de l’accusation de ma famille, mais je ne me reconnais pas dans toute cette histoire et je ne mourrais pas non plus ! Je ne mourais pas parce que je connais rien et je ne suis ni de près ni de loin coupable ! Si c’est vrai ce qu’ils ont dit, je mourais, mais si c’est faux, vous aller beau faire mais je ne mourais pas non plus !
Alors, ils me redemandaient de l’argent et je leur avais clairement dit que je n’avais pas d’argent.
Ils prirent eux même l’initiative de piller cette fameuse petite maison. Ils prirent ce qui leur était utile, moi et ma femme sommes allés vers une autre forêt et j’y suis resté toute la journée.
Revenons un peu en arrière, ce matin là, au moment où je discutais avec les militaires, j’avais vu près de la petite forêt qui est juste à coté mon neveu MPASSI MOUNZEBELLE. Je voulais aller vers lui pour lui dire pourquoi as tu fait cela mais, les militaires m’ont empêché et MPASSI s’était enfui. Je l’avais bine vu à cet endroit. Il était venu pour voir sa proie dans l’espoir de partager ma chair avec ses complices : KEBIA Jean, NTSIOLA Léon ainsi que sa maman et autres. Il croyait que je ne me lèverai plus après que je sois tombé, atteint d’une balle dans mon corps ! C’est pour cela qu’il est revenu avec un cercueil qu’il était parti chercher à Brazzaville… vous le savez car je vous l’ai déjà dit.
Les militaires, après avoir pris l’initiative de piller ma modeste maison, s’étaient donc servis et moi et ma femme étions partis.
Après que je sois parti, MPASSI et ses acolytes ne m’ont pas laissé en paix, ils ont continué à me chercher saisissant les médias. Ils véhiculaient via les journaux et même la Radio locale des messages comme : une récompense sera donnée à quiconque nous livrera l’information sur l’endroit où Emile se cache, de l’argent sera donné à toute personne le livrant...
Ce sont des frères comme TATA YOULOU Antoine que vous connaissez qui lançaient ce genre de communiqués à la Radio Congo. Je ne comprends pas ! Même TATA YOULOU qui n’est pas de ma famille, lui qui est entré à LOUZOLO parce qu’il avait beaucoup de problèmes, maintenant que ses problèmes pour lesquels il allait mourir sont résolus, je vous rappelle qu’il y a longtemps que ce dernier ne devait plus être de ce monde! Je dis bien qu’il doit sa vie à LOUZOLO ; Même lui est devenu complice au même tire que MPASSI MOUNZEMBELLET et d’autres membres de ma famille en tout cas, ceux qui voulaient me supprimer.
Moi Emile je ne mourais pas aussi puisque je ne reconnais pas ce pourquoi vous voulez me tuer. Je ne mourais pas parce que je suis le serviteur de Dieu, je travail fidèlement pour lui afin de conduire toutes les âmes au Ciel. C’est la mission que Dieu m’a confiée, celle de faire accéder au Royaume des Cieux toutes les âmes croyantes ou non croyantes ; Qu’il soit à LOUZOLO ou non, qu’il soit païen ou même féticheur ! Ou n’importe quelle âme ! Toutes ces âmes sont sous ma responsabilité, quand Jésus reviendra au dernier jour pour juger les morts et les vivants, il me demandera des comptes. C’est moi qu’il questionnera ! Car il m’a établi comme un médiateur pour toutes les âmes. C’est pourquoi je ne cesse de vous recommander de vous aimer les uns les autres d’un amour sincère. C’est seulement en aimant son prochain que l’on peut entrer au Ciel ! C’est l’amour qui efface la multitude des péchés, il permet à Dieu de pardonner les humains, il facilite le pardon de Dieu. Si quelqu’un demeure dans le mal, tout le temps dans le mal, en ne faisant que du mal, au dernier jour lorsque votre heure de jugement arrivera, même si je plaide votre cause, le seigneur me dira : Mais cette âme que tu défends, sais tu ce qu’elle faisait de sa vie, regarde Emile ce qu’elle faisait ! Tout ce que nous faisons ici sur terre est écrit, enregistré et gardé pour le jugement dernier. Tout est filmé là bas au Ciel. Il faut que l’homme fasse un effort tant qu’il est encore ici sur terre pour changer de vie, s’il ne faisait que du mal c'est-à-dire s’il volait, tuait, mangeait les gens, était sorcier, était féticheur, était magicien…S’il abandonne cela, aime sincèrement son prochain, s’il s’applique sans faille à aimer ses semblables jusqu’au jour où Dieu viendra le chercher, Quand on me posera la question sur cet homme, je parlerai du bien de lui et Dieu lui pardonnera, il entrera ensuite dans son Royaume. C’est A KARI-KARI qu’il y a un nouveau Ciel, l’association LOUZOLO AMOUR c’est la deuxième nation que lui-même Dieu a choisi. La première nation avait désobéi à Dieu en refusant de respecter les lois, cette première nation était celle des enfants d’Israël. Jusqu’aujourd’hui ils attendent la venue du fils de Dieu alors que le fils de Dieu était né là bas chez eux, c’est ce Jésus Christ que nous prions, ils l’ont rejeté en croyant qu’il n’était qu’un aventurier, un bandit…, un simple citoyen, l’enfant de Marie et de Joseph le charpentier…Ils l’ont tué croyant qu’il n’était pas le fils de Dieu. Ils l’avaient accusé pour qu’on le tue ! On leur a demandé pourquoi voulaient-ils le tuer alors qu’il n’avait rien fait de mal qui mérite la mort ! Malgré cela ils ont demandé qu’il soit tué en prétextant avec insistance qu’il était un bandit, Puis ils ont ajouté, que son sang retombe sur nous et sur nos enfants de génération en génération. C’est pour cela que vous apprenez qu’Israël, les enfants d’Israël n’ont pas de paix ! Ils vivent toujours dans les interminables guerres parce qu’ils les avaient eux-mêmes voulu.
C’est la même chose que les MPASSI m’ont fait en disant : << tuez le car c’est un sorcier>>. Me tuer ! MPASSI avec ta petite famille dont je ne sais même pas le nombre de personnes, allez vous pouvoir payer la lourde dette à Dieu (pourriez vous supporter le fardeau) !
Qu’il sache bien que ceux qui ont attenté à ma vie, ceux là qui étaient de ma famille, ne sont plus les miens, je ne fait désormais plus partie de la même famille qu’eux. MPASSI MOUNZEBELLE, NDEBANI Angélique, NTSIOLA Léon, KEBIA Jean ainsi que tous leurs enfants ne font plus partie de ma famille. Je ne peux plus moi Emile LOUFOUA CETIKOUABO être de la même famille qu’eux jamais !
Ils sont libres de revenir à LOUZOLO mais en ce qui me concerne, je ne serai pas avec eux parce qu’ils m’avaient déjà tué, ils m’avaient envoyé des militaires et même jusqu’aujourd’hui…
Jamais au grand jamais ! MPASSI ne peut plus revenir à LOUZOLO, jamais ! Je le dis haut et fort, il ne revient plus à LOUZOLO d’Emile. De même pour son ami, son complice M. HOMBESSA KABOU Antoine.
En dehors de ces deux personnes, les autres peuvent revenir mais, ce n’est pas parce qu’ils reviennent qu’ils pourront à nouveau être de ma famille, Non ! Ils ne peuvent plus faire partie de ma famille jusqu’à ma mort. C’est au juge de juger lui qui m’a confié la mission, c’est à lui que revient le droit de juger pour savoir qui a tort ou qui a raison ! C’est devant Dieu que nous répondrons. S’ils reviennent à LOUZOLO je ne veux plus les entendre dire : Maintenant que nous sommes revenus à LOUZOLO, Guy Emile est notre frère, notre ami, notre oncle, je ne veux plus qu’ils parlent ainsi.
En ce qui concerne mes biens, vous qui m’écoutez les chefs du village, si vous savez que cette parcelle m’appartient, cette chose là m’appartient, cette propriété là m’appartient…et que vous les voyez (ceux de ma famille qui ont attenté à ma vie) s’en approprier, vous avez mon accord pour les expulser sans les brutaliser et sans bagarre !
Enfin ! Même toi TATA MAKANDA quand même, tu étais au courant de ce que ma famille voulait me faire, tu as laissé faire et quand il y avait des coups de feu, soit disant que je suis un de tes enfants que faisais tu ?
(…) Je te respecte beaucoup TATA MAKANDA, je ne veux entendre ce qu’ils m’ont fait, ce qu’ils ont pris suffit, ils ont déjà pillé ma maison, vendu les tôles et ils l’ont brûlée, tout cela me suffit !
Mes biens personnels reviennent à LOUZOLO, c’est à LOUZOLO que je les ai donné, LOUZOLO est ma première et dernière famille. Si j’ai agi ainsi, c’est pour que les membres de LOUZOLO travaillent, qu’ils produisent des biens en abondance ! C’est pour que ça profite aux membres de LOUZOLO et non à NTSIOLA Léon, KEBIA Jean. Nous ne naissons pas tous le même jour, chacun doit fournir des efforts pour s’en sortir. Il y a un proverbe qui dit  que n’envie pas à autrui fais toi aussi un effort pour réussir ! Mais eux n’ont fait aucun effort et veulent hériter de mes biens après ma mort. Ils se disent allons y le tuer pour que l’on hérite ses biens, <<pour que l’on mange>>. Mais manger, manger, manger, est ce leurs biens ? <<on mange le fruit de sa sueur>>. Ce sont les biens de l’association LOUZOLO de tous les pays car Dieu m’a confié la mission de diriger tous les pays qu’il a crées, tous les hommes qu’il a crées.
Les âmes de tous les hommes de la terre seront comptées sur ma tête et quand Jésus reviendra pour le dernier jugement, c’est sur ma tête que Dieu comptera les âmes, c’est moi qu’il a établi comme médiateur, comme avocat, je ne vous l’avais pas encore dit mais je vous le signifie parce que le temps est arrivé. Le temps est arrivé pour vous dire les vérités que Dieu m’a révélées.
Le nouveau Ciel de Dieu est à KARI-KARI, il est descendu et y est actuellement. C’est à KARI-KARI qu’il est venu construire une Cité, Dieu y est et ils y sont et y resteront Eternellement de génération en génération. C’est ce Dieu qui nous prions, celui que les religions nous enseignent, le Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob. Ce Dieu qui parlait avec Moïse, les apôtres comme Paul, ce Dieu qui a crée la terre, le ciel, les luminaires, la lune, le soleil, les étoiles, les hommes, les océans, les fleuves, la mer, les animaux, les poissons les oiseaux…est venu construire sa Cité à  KARI-KARI avec tout son gouvernement et c’est là bas qu’il demeurera Eternellement.
Quand nous allons mourir, quand Jésus reviendra pour juger le monde, ceux qui vaincront, vivront Eternellement là bas à KARI-KARI qui est la Cité de Dieu. Les gagnants auront la vie Eternelle et vivront dans cette nouvelle Cité appelée LA NOUVELLE JERUSALEM.
Cette nouvelle Jérusalem a quitté les Cieux, est descendu et s’est posé ici sur terre et elle y restera Eternellement.
Dans ma précédente cassette je vous avais dit qu’à l’endroit où était né Jésus à Bethléem en Judée, l’étoile qui guidait les Rois mages était restée suspendue au Ciel à l’endroit où était né le fils de Dieu. A l’endroit où elle était suspendue, les Rois mages trouvèrent Marie, Joseph et l’enfant qu’on appelle Jésus Christ. Cette étoile n’était pas descendue sur terre, cette étoile qui venait de loin, des années lumières, était à la recherche d’un endroit où se poser, autrement dit un endroit où elle descendra pour construire une Cité et demeurer. Comme l’Eternel sait que je suis son serviteur et qu’il m’avait confié une mission, des lois, des recommandations, des règlements à respecter, ayant constaté que je lui ai obéi, je n’ai nullement désobéi aux recommandations, que j’ai suivi à la lettre ses commandements, puisque cette génération qui est la quatrième Génération et la dernière, << la première génération était celle de NOE celle qui était engloutie par les eaux du déluge, la deuxième génération était celle des prophètes comme Elie, la troisième est celle en laquelle est né le fils de Dieu Jésus Christ elle a pris fin le 31 décembre 1999 à O heure précise, à partir du 1er Janvier 2000 nous sommes entrés dans la quatrième génération qui est revenue aux mains de Dieu lui-même la dirige et la conduit. Je répète :
La première génération fut celle de Noé, la deuxième celle des prophètes, la troisième celle du Messie Jésus Christ et la quatrième et dernière génération est celle de Dieu le Père lui-même.
C’est en cette génération qu’il y aura la fin du monde comme on nous l’enseigne dans la Bible et dans nos  religions telles que Catholique, Protestante, Kimbanguiste, Salutiste, Ngounziste. 
C’est en cette génération que Jésus reviendra pour juger le monde ! C’est en cette quatrième génération qui est revenue à Dieu le père lui-même.
Je ne sais pas combien de jours, de mois, d’années encore pour qu’il vienne pour le jugement dernier.   
C’est là bas qu’ils sont actuellement, Jésus Christ le fils de Dieu est actuellement là bas à KARI-KARI. Il y habite avec son père, l’Esprit et tout son gouvernement. C’est sur cette Montagne Terrible et Sainte qu’ils sont venus construire leur Cité. C’est à KIBOSSI-gare que vous connaissez ils y sont avec tous leurs anges y compris ses serviteurs pris parmi les hommes (comme nous l’apprenons dans la Bible). Ils y resteront éternellement, ce Jésus y est et l’Eternel Dieu a-t-il installé sa famille à KARI-KARI ? La réponse est OUI.
Dieu est-il partout y compris dans les cœurs des hommes qu’il a crées ? Je réponds que OUI mais il y a une chose qu’il faut savoir : Dans ces endroits, il se promène seulement mais le lieu exact où il habite est bien réelle : Une Cité que lui-même a construit.
En effet, Dieu avait installé sa Cité au Mont Sinaï, c’est à cet endroit précis qu’il habitait, d’où il parlait à Moïse à qui il avait donné les 10 Commandements. Cette Cité la Bible l’appelait Mont Sinaï tout court. Dieu ne construit que sur les hauts lieux (montagnes). Il avait quitté le Mont Sinaï….(fin du message nous n’avons pas la suite du message)  

Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.

-Avertissements de l'Eternel Dieu: Risque de la précipitation du dernier jour du Seigneur

Message du GM du 01 février 2006

A mes très, très, très chers aimés et Respectés,
A mes très, très, très chers aimés et Respectés,
A mes très, très, très chers aimés et Respectés,
Mes gros, gros, gros des gros Chefs,
Mes gros, gros, gros des gros Chefs,
Mes gros, gros, gros des gros Chefs,
Les gros Chefs de l’ASLA OPH.
Les gros Kalakas,
Mes Gros des gros,
Mes bien-aimés en Christ de l’ASLA du Congo et du monde entier,
Recevez mes vives salutations,
Recevez mes salutations distinguées,
Bonjour, Bonne fête, Bonne année le matin,
Bonjour, Bonne fête, Bonne année à midi,
Bonjour, Bonne fête, Bonne année à 18h,
Bonjour, Bonne fête à 0h, Bonne année à 0h,
Bonjour, Bonne fête, Bonne année le lendemain matin,
Bonjour, Bonne fête, Bonne année éternellement,
Que Dieu Vous bénisse !

Je suis Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO que vous connaissez tous : Président fondateur de l’Association LOUZOLO AMOUR OPH, Association de bienfaisance à caractère spirituel, et le Grand Maître de l’OPH.
Aujourd’hui nous sommes le 01 février 2006 il est 9h moins le quart du matin (8h45).
Premièrement,
Recevez mes meilleurs vœux de bonheur, de prospérité, de parfaite santé, de longévité et de paix, une vraie paix de Dieu.
A vous mes gros Chefs, mes gros responsables de l’Association LOUZOLO Amour OPH, à tous mes frères et sœurs en Christ du Congo et du monde entier ainsi que tous ceux qui ne sont pas à LOUZOLO ;
 A tous les gros Chefs qui êtes venus me voir et avez insisté pour venir aujourd’hui ici pour célébrer une sorte de retrait de deuil, pour mettre fin à la tristesse que vous aviez pour moi car du 04 au 05 février 2002, il eut un attentat sur ma personne.
Aujourd’hui, c’est une journée de grande joie pour tous ceux qui m’aiment. En revanche, pour tous ceux qui ne m’aiment pas, c’est une journée de honte car ils souhaitaient ma mort et croient que je suis mort alors que je vis encore.
C’est cette grande joie que nous allons tous partager avec, ceux qui m’aiment ou qui ne m’aiment pas, nous qui sommes à LOUZOLO ainsi que ceux qui ne sont pas à LOUZOLO c'est-à-dire tous les humains du monde entier : Je vous ai toujours dit que je suis venu pour le monde entier.
C’est une joie importante pour moi de vous livre un message extraordinaire, puissant, douloureux et grandiose en même temps.
En effet, Dieu m’avait dit le 05 février à 6h15mn du matin après l’attentat qui s’était déroulé du 04 au 05 février 2002 du  3h à 5h du matin à l’endroit appelé YALA NTSANGAMANI (KIBOSSI).
Après l’attentat, je criais pour demander pardon à Dieu pour ceux qui étaient venus me tuer car Dieu s’était mis en colère.
Je criais, je criais, je criais jusqu’à 6h15. Le chagrin et la douleur m’avaient tellement envahis que je plaidais pour ceux qui étaient venus me faire du mal. J’intercédais parce que Dieu était sérieusement irrité ce jour là et c’est pourquoi je lui demandais de pardonner à tous ceux qui étaient venus me faire du mal car ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient.
A 6h15 précises, le Ciel s’ouvrit et une grande lumière blanche venant du Ciel se jeta sur moi et j’entendis la voix de Dieu dire :
Dis à tous les humains d’arrêter de me provoquer,
Dis leur d’arrêter de me provoquer,
Dis leur d’arrêter de me provoquer
Et que cela soit la dernière fois qu’ils te touchent !
S’ils te touchent encore,
Je n’écouterai plus tes prières,
Je n’écouterai plus tes supplications,
Je n’exhausserai plus tes pardons,
Je ne t’écouterai plus,
Je vais changer d’avis,
Dis cela à tous les humains
Je vais changer d’avis,
C'est-à-dire, je vais précipiter le jour du Seigneur pour qu’on en finisse avec eux,
Si jusqu’ici j’accorde beaucoup de jours, de temps aux humains c’est pour que ceux qui n’ont pas encore changé changent de comportements et, à ceux qui ne me connaissent pas de me connaître.
Voilà pourquoi je patiente,
Je patiente encore à cause de tes pardons,
Dis aux hommes du monde entier qu’ils retiennent ceci une bonne fois pour toute !
Que ce soit une dernière fois qu’ils me provoquent, Moi l’Eternel Dieu !
C'est-à-dire, il faut qu’ils te laissent tranquilles !
S’ils te touchent encore,
Moi, Dieu, je n’écouterai plus tes prières et tes pardons…
Je vais changer d’avis et précipiter le Jour dernier du Seigneur !
Advienne que pourra : peu importe le nombre d’humains que nous élirons, que ce soit 2 ou 3 ce nombre sera suffisant !
Car ils me provoquent tout le temps et toi, tu n’arrêtes pas de me demander pardon ! Je t’écoute et je pardonne !
Mais cette fois ci, c’est la première fois et la dernière fois que tu vas dire aux humains qu’ils arrêtent de me provoquer, Moi l’Eternel Dieu.
Il me l’avait dit le 05 février 2002 à 6h15mn.
Referez vous au message que j’avais envoyé à mes Gros Chefs habitants de BOKO pour savoir ce que je leur avais dit à mon sujet. En effet, pour répondre à une question éventuelle, concernant ce que je suis et pourquoi j’envoie la lumière, je leur ai répondu qu’il fallait lire le passage dans Jean 16 : 10-15.
C’est ma réponse pour que vous sachiez ce que je suis.
Si vous voulez savoir ce que je suis referez-vous à ce passage.
Cette fois ci, ça ne se passera plus comme Dieu avait fait dans le passé, aux temps du prophète Elisée et aux temps de Datan :
En lisant dans la Bible, on apprend que les petits enfants se moquaient du prophète Elisée parce qu’il était chauve, Dieu ouvrit la terre et enterra tout le monde car il fut irrité (2 ourses sortirent de la forêt et dévora les enfants).
Dieu fit la même chose aux temps de Moïse, les enfants d’Israël se moquaient de Moïse en adorant le veau d’or, Dieu fit irrité et ouvrit la terre pour les enterrer. Datan et ses complices furent enterrés vivants jusqu’à ce jour.
Mais cette fois ci Dieu a dit qu’il ne procédera plus de la même façon. C’est pour cela qu’il a insisté que ce soit la dernière fois !
La prochaine fois, ce sera le jugement dernier dit-il ? Il me dira : dis leur ce que je te dis.
Je n’écouterai plus tes prières et tes pardons Emile, dit l’Eternel. Je ne prêterais plus attention  à tes supplications ! Je changerai d’avis et je précipiterai le dernier jour du Seigneur pour le monde entier afin que tout le monde sache que c’est moi qui t’ai choisi et envoyé pour véhiculer mon message dans le monde entier.
Voilà mes gros chefs, le message extraordinaire, puissant, douloureux, grandiose et de joie en même temps que notre père m’avait dit pour vous annoncer.
En cette date du 05 février 2002 à 6h15 du matin, Dieu m’a dit que le jour où ils me provoqueront à nouveau, je n’écouterai plus des prières et tes supplications, je changerai d’avis et je vais précipiter le dernier jour du Seigneur c'est-à-dire le jugement dernier. C’est ce que Dieu m’a dit le 05 février 2002 à 6h15 du matin.
Si les gens vous posent la question de savoir qui est t-il pour nous annoncer ce que Dieu lui dit ? Pour répondre à leur question, demandez leur de lire dans Jean 16 : 10-15.
Voilà mes très chers aimés et respectés, les gros, gros, gros chefs, Papa DP, les Maman Afrika, Gabon, Bucobrazza, Bucopen, Bucoco, Bucodol, tous mes gros chefs de toutes les  structures de l’ASLA-OPH, mes gros chefs, mes frères et sœurs de l’ASLA-OPH et ceux qui sont venus nous visiter, nos gros chefs Politico administratifs et militaires, voilà ce que Dieu m’avait dit de vous annoncer.
Que Dieu vous aide et vous accorde le bonheur, la prospérité, longévité et la paix à vous-même et à toutes vos familles.
Que cette fête accorde à tout un chacun bénédiction et réussite à toutes les entreprises et accorde la chance et la joie pour que tous ceux qui sont stériles soient fécondes, que ceux qui ne travaillent pas, travaillent, que ceux qui ne se marient jamais, se marient.
Que tout le bonheur que tout un chacun cherche dans ce monde lui soit accordé à partir de cette fête du 04 au 05 février 2006.
Quelque soient les maladies et les difficultés, à partir de cette fête de retrait de deuil, à tous qui m’aiment ou ne m’aiment pas…puisque Dieu a pardonné…Car mon sang a racheté de nouveau…Alors les gens vont être scandalisés par mes dires mais, puisque je suis un petit KAPITA, puisque je suis son petit KAPITA, mon sang a coulé et versé sur terre rachetant de nouveau les humains du monde entier, l’humanité toute entière, quelque soient les races, les couleurs, les langues, grands, petits, vieux, vieillards que sais-je encore.
Car je suis venu pour le monde entier, Dieu m’a confié sa mission secrète afin que tous les humains soient sauvés.
Donc, mes gros chefs voilà le message de joie que j’avais à vous annoncer pour les jours du 04 au 05 février 2006.
Que Dieu soit avec vous et vous aide aujourd’hui, demain et tout le temps.
Louons notre Dieu qui nous aime car s’il ne nous aimait pas, un événement malheureux devait subvenir du 04 au 05 février 2002, nombreux seraient surpris car ce serait la fin du monde.
Comme nous sommes des orgueilleux, nous nous disons mais, Oh ! Qu’est ce qu’il est entrain de dire celui là, il raconte des bêtises !
Mais le jour viendra où tous le monde sera surpris et ne constateront plus que je raconte ma vie !
C’est une vérité que je dis ici, et je l’énonce pour le monde entier. J’annonce au monde entier qu’il ne faut pas provoquer Dieu ; c'est-à-dire qu’il ne faut pas toucher à son serviteur, son envoyé, non ce n’est pas le mot que je veux dire, je veux dire son messager, voilà le mot ! En fait son missionné je voulais dire, je suis son missionné. Dieu m’a averti en disant que ce soit pour la dernière fois.
Si les gens te touchent encore, je n’écouterai plus tes prières et tes pardons Emile, je changerai d’avis et je vais précipiter la fin des temps et le jugement dernier subviendra précipitamment pour qu’on en découdre avec les humains. Ceux qui m’aiment, seront avec moi et ceux qui ne m’aiment pas seront à coté.
Voilà mes gros chefs le message extraordinaire, important, grandiose, douloureux et joyeux que je tenais à vous livrer.
Je m’arrête là, Bonne fête, Bonne année, bonne année, bonne année, maintenant, demain et toujours au nom du Christ, c’était Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO qui habite à KIBOSSI à quelques 38 km de Brazzaville.
Chant salutiste : le GM chante en KONGO (YESUS YI FUMU WA NENE, YESUS YI  FUMU WA NGOLO, WA KEDIKA, MU NGE SI YA NUNGANGA).
C’est une vieille chanson salutiste que l’on chantait autrefois, j’ai oublié les autres couplets. Il me semble qu’il y a trois ou 4 couplets. Veuillez m’excusez si j’ai commis des erreurs.
En fait, je voulais dire que Jésus est le Seigneur Puissant et Redoutable (Grand) ce n’est que par lui que nous pouvons être sauvés car son précieux sang a coulé pour racheter le monde entier. Alors les gens se poseront la question de savoir mais comment se fait t-il que mon sang aussi a racheté le monde entier? Mais Oui puisque je suis son petit KAPITA, son petit missionné. Ils m’ont fait du mal et Dieu était irrité et voulais changer d’avis c’est pourquoi je n’ai cessé de pleurer toute la nuit pour plaider la cause du monde entier.
Alors que ce ne sont que quelques hommes qui m’avaient fait du mal ! Pour cela l’humanité toute entière devait payer, le Seigneur voulait changer sa décision pour précipiter le dernier jour du Seigneur et tout le monde serait surpris.
Mais, à cause de mes pleures toute la nuit, j’avais donc pleuré toute la nuit et jusqu’au matin ! Que Dieu me pardonne car j’avais vu l’atmosphère des Cieux toute la nuit jusqu’au matin, l’aspect des Cieux avait changé. Par mes pleurs, les Cieux se sont ouverts et une grande lumière blanche partit des Cieux et est venue m’envelopper, elle a enveloppé tout mon corps et une voix retentit du Ciel disant : dit aux humains du monde entier que ce soit la dernière fois.
J’entendis sa voix à 6h15mn du matin le 05 février 2002. Les Cieux s’ouvrirent et une grande lumière blanche y sortit et enveloppa tout mon corps. Elle jaillissait comme l’eau jaillit d’une pompe (robinet).
Si je répète mes dires, c’est pour préciser les points que j’ai entendus.
Merci !

Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.

6) Renoncement de Dieu à la précipitation du dernier jugement, Remission des péchés

 

ASSOCIATION LOUZOLO AMOUR-OPH Amour sincère * Unité * Paix
Association de Bienfaisance à caractère spirituel

Loi de 1901/Récépissé N° 884/MINT/SAGT/DEC/SAG
Siège social : KIBOSSI-GARE ; B.P. : KIBOSSI-GARE ; Tél. : 6
République du Congo Brazzaville

Président Fondateur
Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
Grand Maître de l’OPH

---------------------------------------------------Kibossi, le 8 juin 2007

N° 033 /GELC/GM-OPH/PF-AS.L.A./07

NOTE CIRCULAIRE

A L’ATTENTION DES FRERES ET SOEURS EN CHRIST
DU CONGO ET DU MONDE ENTIER

 

OBJET : Fête de pardon de Dieu
Et de remerciement

Mes Bien-aimés en Christ,

 

Je vous rappelle que le 5 février 2002 de 3 heures à 5 heures du matin, j’avais été victime d’un attentat armé qui a occasionné l’effusion de mon sang.
Ce grave péché commis à mon égard, en tant que petit capita de l’Eternel Dieu, avait suscité la colère de Dieu qui finalement, décida d’en finir avec les hommes de la terre.
Sa décision était de précipiter le dernier jour du jugement des nations ; tout le monde devrait mourir ce 5 février 2002. C’est cela, la punition que Dieu avait destinée à tous les humains de la terre.
Mais, moi Emile, en tant que petit capita de l’Eternel Dieu, j’avais prié, j’avais plaidé la cause des humains de la terre, pour que Dieu les pardonne car ils ne savent pas ce qu’ils font.
Et, Dieu dans son amour a écouté et exhaussé ma prière, et le pardon nous fût accordé ce même jour 5 février 2002 à 6 H00, heure à laquelle j’avais supplié Dieu de nous pardonner.
Cependant, frères et soeurs en Christ, mes bien aimés dans le Seigneur, sachez-le bien, que Dieu nous avait accordé son pardon suite à mes supplications, mais Il n’avait toutefois pas renoncé à exécuter sa décision de nous punir en précipitant le dernier jour du jugement des nations.
Cette décision de punir l’humanité de façon précipitée, était toujours dans ses intentions, Dieu n’y avait pas renoncé malgré le pardon qu’Il nous avait accordé suite à mes supplications du 5 février 2002 à 6 heures du matin.
Qui pouvait alors conseiller l’Eternel Dieu et apaiser sa colère pour qu’Il change sa décision et renoncer à nous punir ?
Frères et soeurs en Christ, la situation était difficile pour nous, car Dieu avait déjà proclamé sa
Sentence : précipiter le dernier jugement et faire mourir les humains de la terre.
Mais en tant qu’Emile, en tant que petit capita de l’Eternel, Dieu n’avait pas oublié mes supplications du 5 février 2002 à 6 heures du matin. Il avait écouté, exhaussé ma prière et la grâce et le pardon nous sont aujourd’hui accordés.
En effet, frères et soeurs en Christ, le samedi 5 mai 2007 à 4 Heures 00 du matin, l’Eternel OPH-Sebaoth m’a annoncé, à moi Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO son missionné, qu’Il a renoncé à sa décision de punir l’humanité tout entière par la précipitation du jour du dernier jugement qu’Il avait résolu d’accomplir lors de mon attentat le 5 février 2002.
Alors, frères et soeurs en Christ, puisque Dieu a retiré sa décision de précipiter le dernier jour du jugement, soyons donc dans la joie et remercions-le, car Il nous a accordé son pardon.
Acclamons-le et louons-le pour cette miséricorde ; souvenons-nous frères et soeurs en Christ, que les enfants d’Israël ayant commis le grave péché du veau d’or, n’avaient pas obtenu ce pardon malgré les supplications de Moïse. Dieu avait maintenu et exécuté sa décision (Exode 32 V : 30 – 35).
Or pour nous, Dieu est revenu sur sa décision de nous punir grâce à mes supplications. Soyons donc dans l’allégresse et rendons-Lui un culte joyeux.
A cet effet, étant donné que Dieu nous a pardonné, Il nous demande de ne plus revenir sur nos fautes, de ne plus recommencer. C’est pourquoi, tous les humains de la terre, Louzolifiés ou non, chrétiens ou païens qui se sont rendus coupables d’un péché quelconque (mensonge à l’égard de sa femme, de son mari, de ses enfants, de son père, de sa mère, de son employeur, … avortement, meurtre etc.) sont conviés à la grande fête du pardon des péchés ( Lev 23 : 26 – 32) et de remerciement à l’OPH notre Dieu, qui se déroulera du vendredi 27 au dimanche 29 juillet 2007, à la belle cité du Mont Kari-Kari à Kibossi gare CFCO.
Ce grand dambage de pardon et de remerciement sera célébré de génération en génération.
J’insiste et je répète, que tous ceux qui se sont rendus coupables d’un péché quelconque, ceux qui veulent, doivent se rendre à cette grandiose fête du pardon des péchés pour obtenir le pardon de
Dieu, et pour remercier le Seigneur pour avoir changé sa décision de précipiter le dernier jour du jugement.
Dieu pardonnera au cours de cette fête, tous les péchés que nous avons commis depuis notre naissance, à nous de ne plus y revenir. A la suite de ce pardon de Dieu, les frères et soeurs doivent aussi se pardonner les uns les autres.
En conséquence, vu la grandeur et l’importance de cette fête, les frères et soeurs qui s’y rendront doivent nécessairement payer la biéramycine y relative deux (2) semaines avant la fête pour permettre une bonne préparation des festivités.
Par ailleurs, un nsinsani sera organisé à cette occasion. Frères et soeurs, sachant donner à
Dieu, car Lui, Il saura nou s le rendre au-delà comme cela est écrit dans les écritures de 2 corinthiens 9 : 6–8, je cite : « Rappelez-vous ceci : celui qui sème peu, récoltera peu ; celui qui sème beaucoup, récoltera beaucoup. Il faut donc que chacun donne comme il l’a décidé, non pas à regret ou par obligation ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu a le pouvoir de vous accorder en abondance toutes sortes de bien, afin que vous ayez toujours tout ce qui vous est nécessaire et qu’il vous reste encore assez pour toutes œuvres bonnes.
Voilà frères et sœurs ce que j’avais à vous dire.
Que L’Eternel YAHVE SEBAOTH OPH vous accorde ses grâces et tout dont vous avez besoin pour accomplir son œuvre au Nom de Notre Seigneur Jésus Christ.
Amen, Amen, Amen.
Votre frère en Christ le Représentant Légal de l’OPH sur terre.
Guy Emile LUFOUA CETIKOUABO