EXTRAIT DU MESSAGE DU GM DU 03 OCTOBRE 1995
...Mais nous sommes une association, faites ce que je vous demande de faire comme je vous le demande .
Et puis beaucoup disent : « Ah non ! On attend les notes circulaires. Ah...parce que, bon! il a seulement dit...Bon, il faudrait que tel chef nous le dise pour que nous le prenions en considération... ». Enfin, quel tel chef là ? Alors que je suis le Président Fondateur. Mais toi, tu préfères seulement que tel chef parle pour que tu prennes en considération ma directive. Alors que cet tel chef là, c'est moi qui l'ai nommé. Mais si je te suspend (radie) de mon association, est-ce que ce tel chef là a le pouvoir de te réintégrer ?
Comment est-ce que nous les hommes sommes-nous ?....Comment on appelle ça ? Enfin je ne sais pas (comment nous qualifier) !
Je suis le Président Fondateur, si je vous dis de faire quelque chose, même si vous n'avez pas encore de note circulaire, puisque c'est moi qui ai dit, c'est moi qui suis le Président Fondateur, c'est moi le propriétaire de la maison qu'on appelle LOUZOLO... c'est moi qui ai dit...Et vous, vous dites : « Ah non, il faut que la note arrive d'abord chez ces chefs là...Alors que ces chefs là, c'est moi qui les ai nommés. De même, vous aussi, c'est moi qui vous ai placés là.
C'est moi qui parle...Bon !
Les paroles s'envolent, c'est vrai.
Mais je donne verbalement des directives afin que vous les exécutiez d'abord puis les notes suivront après. Mais pourquoi exigez-vous alors les notes... « on veut les notes, il faut que tel chef parle... ! ».
Mais quel chef là ? Alors que tous ces chefs là que vous voyez, c'est moi qui les ai mis là.
Vous considérez « beaucoup plus » les chefs que j'ai nommés que moi-même qui les nomme.
Comment est-ce que vous pouvez expliquer de telles choses ? Mais c'est incroyable ! C'est du jamais vu ça !
Le propriétaire de LOUZOLO c'est moi. Enfin, le Président Fondateur, c'est moi. Je parle et je vous donne des directives et vous dites : « il faudrait que nous voyions d'abord les notes circulaires et que ces chefs là nous parlent d'abord avant de les mettre en application ».
Alors que c'est moi qui suis le Président Fondateur et que c'est moi qui nomme tout le monde. Et c'est encore moi qui donne le pouvoir...Mais enfin !
Non, soyons obéissants mes frères et sœurs. Soyons obéissants, soyons obéissants.
Si j'ai une directive ou une information, si c'est verbal, exécutez d'abord, les notes viendront après.
Je donnerai par la suite l'ordre d'écrire la note relative à ce que j'ai dit.
Mais, c'est à dire...Les LOUZOLIFIES, surtout les gros KALAKA, permettez-moi...Nos présidents... Les LOUZOLIFIES considèrent plus les chefs que j'ai nommés que moi-même qui les nomme.
Ah les hommes! Mais si je dis : tu es désobéissant, je te vire....Alors tu diras, oh voilà, il est mauvais...Oh ce type-là...
Non, je ne suis pas mauvais mais c'est plutôt toi qui est mauvais ! Toi qui ne veux pas m'écouter et qui attends que tel chef te parle. C'est toi qui es mauvais, mais si je le constate, je te vire.
Je te relève de tes fonctions.
Mais enfin, cet autre chef-là qui dit : moi j'attends d'abord les directives de tel chef....Il ne peut plus te mettre là. Il ne peut pas te mettre là parce que c'est moi ai dit. C'est moi qui t'ai mis là et c'est moi qui te révoque, il n'y aura plus une autre personne qui te remettra dans tes fonctions
Il faut que nous sachions ces choses là.
Vous considérez plus ceux que j'ai nommés aux postes de responsabilité que moi-même qui les ai nommés et que vous considérez comme étant inutile.
Mais si demain je vous vire, il n'y aura plus une autre personne, même étant chef, qui vous reconduira (puisque c'est moi le Patron).
Ça, il faut que nous le sachions.
Si je dis faites ceci, faisons cela.
N'attendez pas parce que là-bas on n'a pas dit...Mais qui a dit ?
C'est moi qui parle à ces chefs, c'est aussi moi qui vous parle.
Si l'idée (la pensée) arrive (si j'ai l'inspiration) pour faire ceci dans tel pays...Si je vous en parle, exécutez d'abord et les notes viendront après.
Voilà mes gros chefs ce que j'avais à vous dire. Veuillez me pardonner pour tout ce que je viens de dire. Ce qui ne vous intéresse pas... (ne le prenez pas en considération).
C'est mieux que je puisse parler car je l'ai toujours remarqué, depuis toujours.
Depuis toujours, j'ai toujours remarqué ça. Vous dites : « Ah non le BCI n'a pas dit ça ! Le BCI n'a pas envoyé la note! ».
Mais qui a mis le BCI là, ce n'est pas moi ?
Qui a mis le président du BCI là, ce n'est pas moi ?
Oh, vous...Moi je ne comprends pas vraiment comment sommes-nous nous les noirs ?
C'est moi qui ai mis le BCI, c'est moi qui ai mis le président du BCI, c'est moi qui vous donne des ordres. …. !
Or on dit souvent : un commandement est un ordre !
Si je vous dis de faire, faites-le et le reste suivra après.
Mais vous dites : « Non, il faudrait qu'on attende la lettre du fondé du pouvoir...On attend la lettre du premier président avant de faire ça... ! »
NON....
Mais c'est moi qui ai mis le fondé du pouvoir. C'est moi qui ai mis le premier président et c'est moi qui vous donne des ordres.
Mais vous ne voulez pas les exécuter...Vous attendez que le premier président vous donne des ordres ou bien le fondé du pouvoir.
Mais qui les a nommés ? Ce n'est pas moi ?
Ah mes frères et sœurs, soyons modestes.
Si de telles pratiques continuent, je serai obligé de révoquer les gens comme toujours.
Même si les gens me font du mal, ça ne fait rien.
Mais là-bas, nous nous verrons.
Nous les verrons là-bas.
Ils ne passeront nulle part ailleurs, nous les croiserons.
Nous les attraperons.
Soyons modestes, soyons obéissants. Si je parle même par cassette ou par le biais d'une petite lettre (cursive avec mon niveau scolaire/intellectuel...), il faut éxécuter et après les notes viendront.
Mais si je parle, vous attendez d'abord que ce soit le fondé du pouvoir qui vous le dise ou alors que le premier président vous le dise.
Qui a mis le fondé du pouvoir là ? Ce n'est pas moi ?
Qui a mis le premier président là ? Ce n'est pas moi ?
Qui a mis le BCI là ? Ce n'est pas moi ?
Et que quand je vous parle, vous voulez toujours...vous dites : « j'attends...il faudrait que ça parte du sommet.... »
Mais le sommet c'est qui ? Ce n'est pas le Président Fondateur ?
Ah soyons modestes.
Veuillez me pardonner pour tout ce que je viens de dire car cela a duré très longtemps et très longtemps.
J'ai toujours cru et pensé que vous changerez...JAMAIS ! Et toujours ça !
Quand je parle, vous dites : « Ah non, il faut qu'on attende que le premier président nous le dise, que le fondé du pouvoir nous le dise... »
Alors que c'est moi qui ai mis le premier président, c'est moi qui ai mis le fondé du pouvoir, c'est moi qui ai mis le BCI, c'est moi qui nomme tout le monde.
Pourquoi voulez-vous seulement obéir aux gens que je nomme ? Et que moi qui les nomme, vous ne m'obéissez pas ?
Quelle est cette façon de prier ?
Or Dieu nous demande d'être modeste et obéissant.
Vraiment veuillez me pardonner. Je termine par là.
Recevez mes vives et chaleureuses salutations.
C'était LOUFOUA CETIKOUABO Guy Émile.
Faites le travail de Dieu parce que nous irons dans Son Pays. Comme les paroles de la chanson disent : KU BANZAKANDI TAT'EMILE BU KE ZONZI YA BANA MUNA KILUMBU KINA MBO KA KUZONZELA (ne crois pas que le fait que papa Émile soit l'avocat (défenseur) des enfants, que ce jour là il plaidera ta cause...)
Ce n'est pas parce que je vais défendre...il faut d'abord que tu puisses travailler toi-même ! Si quelque chose te manque, je parlerai, je plaiderai ta cause.
Mais si depuis le départ tu ne fais rien, comment est-ce que je peux parler ? Comment est-ce que je peux plaider la cause de celui qui n'a rien fait?
Prenons l'exemple des écoliers. Un élève qui ne fait rien en classe, au jour des examens, à la délibération, les parents demandent aux jurys de faire quelque chose pour faire passer leur enfant en classe supérieure.
Ah Non, même si lui-même va plaider sa cause, mais les Jurys diront au directeur : regarde ses propres cahiers...c'est quelqu'un qui ne fait rien..Comment est-ce qu'on peut le repêcher ? Même le directeur aura honte...
C'est pour vous dire que : il faudrait que nous fassions le Travail de Dieu.
Si les points vous manquent (au Jour du Jugement), je serai là pour ça.
Je serai là pour plaider. Mais si un enfant, un élève, un étudiant n'a rien fait et que le directeur aille plaider pour un tel étudiant/enfant/élève qui n'a rien fait, auprès des jurys, ce n'est pas possible ça ! Il aura honte lui-même.
Lui-même aura honte, le directeur, parce que son élève n'a rien fait, il n'a pas travaillé et ne travaille jamais. Mais comment est-ce qu'il aura l'amabilité d'aller plaider ? Il aura honte.
C'est comme nous aussi à LOUZOLO. Consacrons notre temps. Tout notre temps, tout le reste de notre temps à Dieu et Dieu pourvoira.
Je m'arrête ici.
Recevez mes salutations.
Sur tout ce que j'ai dit, prenez ce qui vous est utile et laissez ce qui n'est pas bien pour vous. Pardon, pardon, je vous demande pardon.
Que cela soit ainsi.
Bonjour, bonjour, et encore bonjour infiniment.
Merci, merci, merci beaucoup.
C'était LOUFOUA CETIKOUABO Guy Émile qui habite KIBOSSI Gare.
Aujourd'hui nous sommes : Mercredi, je crois, le 03 Octobre 1995.
Bonjour, bonjour, et bonjour infiniment.